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rhee jonghwa
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Sujet: FICHES PERSOS -- Ven 5 Mai - 17:49
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❝ rhee jonghwa

I won't say goodnight
ft. sohn eric
tw (alcool . rude language . violence.)


「 too late 」
lost in tonight

ˏ⋆
·˚ˎ
*








「 정화 」
à susurrer aux creux des tympans.

ㅡ c'est que les temps murmurent les horreurs, et non les ((beautés)), à en faire croire aux familles, à vouloir créer chaos quand des prénoms n'en ressortaient que les délicatesses des nuits. ô floraux parfums à tout détruire, [ jonghwa ], à n'être que roi pour lui, à n'être qu'inconnu pour les autres. car il dominera, car il arrachera : ce que tous ont de si précieux. des familles ((ô Rhee déçus.)) déchus ô aspérités magnanimes, à écorcher les genoux. car on l'appelle Hwa, dans son royaume.

à se relever ;
comme monstre
é g o i s t e


「 09.06.2021 」
naissance maudite ; busan à percuter.

ㅡ inconnu, méandres des nuits. et qui est-il, Jonghwa ? de ces visages ô jamais croisés, de ces corps ô toujours aperçus. alors souffre le myocarde, de ces bougies si détestées. des pluies de juin aux chiffres maudits, de ces années risibles : à n'être que poussière parmi tant d'autre.

joyaux corrompus

「 coréen 」
à en croire les écrits menteurs ; nation amères

ㅡ ô chaos, entre les rues, à causer les troubles, à croiser les origines. et qui sait, ce qu'il était réellement, le petit prince au sang impur. ne pas savoir, mystère entre les cités d'or, à faire briller les orfèvreries sur ses cous déguisés : à en mentir de ces (( corée )) aux allures balivernes. à déjouer le vrai du faux.

m e n s o n g e s


「 20 ans & gemini 」
âge à rebours, aux astres perturbés

ㅡ lunatique, face aux astres ; à double face : de ces mains jointes. gémeaux, qu'on en appelait les folies, de quelques années, quand les regards abîmaient les amours instables. à hurler au monde, les mots et maux, à articuler : les passés oubliés. vingtaines d'années, à dessiner de ses lippes les sourires sur les médiocres vies : à y peindre et dépeindre, les tissus bien brodés.


「 guitariste & hacker 」
fuir les réalités ; ombres pour briller.

ㅡ vibrent les cordes, aux sons des doigts. dans les bars, à y vendre vie inexistante. à chanter, à jouer, de ces guitares contre quelques sous. à être doué, de ses narcisses infaillibles. à se savoir sur les trônes, à jouer de ses malices, quand il en articulait entre les lèvres délicieuses les nymphes ; à dévorer les nymphéas pour en devenir œuvre d'art. car Jonghwa, fleur des âmes et destruction : n'en était que simple musicien. à renier les études, à ne jamais rentrer : jusqu'à ce que les aubes ne tombent. hacker dans les ombres, les écrans et vie à détruire.


「 seul & bisexuel 」
à n'aimer que lui, ô narcisse

ㅡ de cœurs en apothéoses, à mourir ((exploser)), quand les marées enivraient les sangs jusqu'aux extases. car lui parcourait les cœurs, chantait les louanges : à en charmer les druides pour les détruire de ses mots. ô amour des corps ; à ne jamais pourtant être compris. nombrilisme pertinent, à piétiner ceux qui s'accrochaient. car de ses beaux visages en sommeillait immondices. car de ses belles paroles résonnaient les malheurs.

jusqu'à semer :
les parfums d'Appolon.


「 misères & chaos 」
détester les destins funèbres.

ㅡ c'est que les familles étaient fumées ; à engendrer dans les sangs les pulsions vengeresses, à détruire les gamins de ces amours mortels. car ô jamais aimé, à juste provoquer les désordres, Jonghwa. quand de ces regards lui fuyait les réalités, à vouloir se persuader qu'il n'en était pas déchet. tant pis, s'il en abandonnait les autres derrière : du moment que lui survivait à ces miséricordes pauvretés.



\   ˚  ˎ
 ✵   ·       \
\     °       ⋆    ✧
       \ .   '    ˎ      
   ⋆        ✵      ˚
— don't give up on tonight

ˏ⋆

pathetic - outrageous - confident - stubborn - fire in the hands - rude - asshole - the world is blue - [egoistic] - bedroom warfare







< once upon a time >


「 give up 」
I was king

ˏ⋆
·˚ˎ
*


「 chap.1 」 apogées et retombées

petit prince aimé
petit roi abandonné.
dans les antres des calvaires, à ne jamais négocier :
quand les démons s'insurgeaient. car il hurlait, Jonghwa, belle fleur aux épines dangereuses, à toujours se méfier des beautés endormies. car le jour : il en charmait de ses mensonges, à venir délivrer calomnies et attaques. poings contre les chairs, à sombrer à son tour dans ces violences démesurées, chaos entre les rues, à brûler les sables de ces incendies volontaires. et il rentrait tuméfié, le gamin, à avoir arrêté les cours, à avoir tout abandonné : pour se concentrer sur les écrans. à bafouer les respects, ignorer les familles : vivre comme s'il était seul au monde. car il redorerait les couronnes, à vouloir tout reposer de nouveau sur les chevelures soyeuses. car entre les brouillards s'en formaient silhouettes : passives et éprises, de ces néants. car de ces phalanges cassées, en résonnaient pourtant les mélodies improbables.

à frapper les cordes ;
de ces passions
éteintes.

「 chap.2 」 mirages des nuits

heurter les peaux contre les peaux, rentrer : dans ces lieux misérables. à n'avoir que dédain dans les regards, Jonghwa, car il avait presque honte , d'en être des mêmes patronymes. lien qu'il ne voulait pas, fuir de là comme maladie incurable, et pourtant les âmes en revenaient toujours au même endroit. qu'importe, qu'il s'en fasse prendre entre les rues macabres, où qu'il soit : où que les pas le mènent, à juste errer bien trop souvent de son instrument sur le dos pour en fuir les réalités. pour ne faire que s'approprier les nuits. un coup entre les draps, un autre jour à plaquer les visages contre les bitume : quand lui même ne venait pas vouloir réduire en cendre les écrans et panneaux d'une ville aux emprises moroses : à ces autorités, à qu'il en montrerait que les rois des villes n'en étaient que les égocentrismes permanents.

ravageurs.

「 chap.3 」 couronne esseulé

c'est que derrière les écrans ;
à pianoter comme les dieux entre les mondes,
à naviguer, comme ces ironies parfaites. ô Jonghwa, maux de tous les Hommes, à s'acharner à vouloir en détruire les astres, quand de ses doigts il ne pouvait qu'en afficher les faux sourires. charmer, pour mieux sombrer, habileté des mots ((mensonges)). à faire plonger l'ordre dans le désordre. car de ces familles, à les éviter, lui en avait fait jeu : ces relations externes. belles paroles, pour toujours s'échapper, quitter les cours ,, de ces avenirs prometteurs, pour en travailler. lui qui ne resterait pas sans rien faire. car ils n'avaient qu'à sombrer, eux, sans l'emporter lui. qu'importe. personne n'était réellement lié, à ne jamais leur adresser un regard, ni-même un sourire. ô trop demandé, pour celui fuyant les lieux le plus possible. c'est que les plus vieux ne faisaient que le ramener des abysses, et un jour sans doute comprendrait-il : que tout ne pouvait aller comme il le voulait.  

de ses haines.
de ses caprices :
pourtant matures.

et ô Jonghwa , à en être solitaire, ne jamais croiser les routes des autres, il en finirait par se retrouver seul.
au lieu des lumières voulues.
à errer comme une ombre.

「 chap.4 」 vibrent les phalanges

seul art maîtrisé.
outre les mots écrits sur les papiers risibles, loin des ignorances à en faire pâlir les mondes. quand les sons en sortaient d'entre les guitares majestueuses, seul trésor : de ce royaume abandonné. car tout pouvait bien s'écrouler, entre ces mers, à juste dériver jusqu'à ne plus jamais être retrouvé. lui en viendrait à bout, à juste ne jamais en montrer les finalités, quand les arts en étaient seules passions outre les combats de rue. sentir la pluie sur sa peau, s'infiltrant jusqu'aux myocardes asséchés : et quand est-ce que les rues en étaient devenues deuxième maison ? à jouer ; toujours plus, à rire : bien trop encore, de ces malheurs blafardes, à n'en demander aucune réponse en retour. car il avait tout arrêté, Jonghwa. plus de cours, plus aucun mot à pouvoir apposer sur les épopées.

et un jour :
il grandirait,
le petit prince.



「 chap.5 」 tempêtes et déserts.

c'est qu'il ne sait plus : ce que les vérités en offraient aux plus méritants. richesses au bout des doigts, quand de temps en temps il se laissait aller aux alcools, quand il se laissait aller aux passions : de ces corps ensorcelant les vis-à-vis, dansant sous les chants comme valses désaccordées, alors que tout n'en était que langage du corps. à rire ; de ces inepties, car quand il ne jouait pas de ces myocardes inconnus, il en venait à pianoter sur les claviers, pirater les appareils comme les cœurs qu'il empoisonnait. réel monstre, à ne penser que lui, car même narcisse en prendrait peur : de ces reflets monstrueux.

à hurler la nuit ;
se faire attraper si souvent.

quand les hôpitaux le retenaient ; quand les commissariats il voulait fuir, rester libre et maître de lui même. à juste aimer semer chaos et coups à ceux qui lui en rendaient la pareille. à en finir de ces galaxies sur les visages ; car il était pourtant intelligent, le gamin, bien trop sans doute. malices dans les regards, honnêtetés frappantes quand les mots en étaient si rustres. et pourtant : il en cachait si bien son jeu, lui de ses élégantes manières.


「 chap.6 」 valses d'été

tambourine, dans les poitrines : les vides complets. car il n'avait jamais aimé, Hwa. impassible, imprenable, gamin au visage magnifique ; au cœur bien plus noir. et qu'était-il finalement ? si ce n'était que carcasse vide, sans âme : aux sentiments éteints. peut-être parce qu'il n'y croyait pas, Jonghwa, à l'amour, peut-être qu'il ne voulait pas y croire. modèle éteint, à ne plus exister. car il ne voulait pas reproduire les idées risibles, le gamin, à juste fuir les front, quand il n'était que violence.

et ô, lui ne serait que monstre.
il l'avait décidé.
d'hanter les mondes.

alors avances toujours refusées : en effrayant. venir laisser les poings frapper les murs, mots poisons, gamin nocif pour eux ((pour lui.)) on le craignait, l'évitait : et il riait, à s'avouer bien trop vaincu, de ces absurdes choses qu'ils pensaient y voir. quand les alarmes sonnaient aux environs du corps, à en balancer les téléphones par terre, détruire les écrans, comme les espoirs donnés par une application. et il ferait ses lois, lui, à ne jamais leur en offrir rédemption : à juste vouloir montrer qui en était le plus fort.


「 chap.7 」 carnages et horizons

et quand les alcools, en assombrissaient les idées, ô il en était plus que déséquilibre, car quand tout tournait, sans doute qu'il en était des plus faible, Hwa. à ne plus bouger des sièges jusqu'à se faire jeter dehors ; jusqu'à ce que les corps en restent dans les froids des nuits. et qui était-il au juste ? à ne pas réellement savoir pourquoi il en était encore là, à toujours plus errer. passions anéanties, qui à part les instruments en avaient été que privés des choix. alors il fleurissait par lui-même, le gamin, à se dire que rien ne serait plus pareil.


quand les horreurs
se camouflaient.
 

alors amoché ! ô jamais réellement en état complet, il préférait presque en dormir entre les rues que chez lui. à pourtant finir par toujours y revenir quand ce n'était que les seuls lieux qui pouvaient l'accueillir sans en atteindre aux corps. offrir là chaleurs quand lui n'était qu'immondice dans ces fratries si dispersées.


「 chap.8 」 couronne nécrosée

et les solitudes n'étaient jamais réelles, causer le chaos : de ces groupes risibles. à ne jamais vouloir les suivre, jamais vouloir les apprécier, et il les détestait, en vrai, là par simple égoïsme, par simple envie d'en avoir cibles faciles à ses côtés. pourtant ils étaient tous aussi horribles les uns que les autres, ces gamins, à ne juste pas savoir où aller, s'égarer si souvent dans les méchancetés qui pouvaient en noyer les vices.

et eux, on les fuyait.

qu'on murmurait à leur passage. du lycée aux échauffements, à vouloir détruire les mondes de ces regards tueurs. à finir par s'en doute s'être habitué à eux, à vouloir fuir les réels, quand ils se noieront dans ces impasses. et Jonghwa finirait par mourir, de ces défouloirs. petit prince inutile, saccageant les utopies, quand viendront s'écrouler les familles ô jamais reconnues.


ô toujours abandonnées.






< position par rapport à vice > bannir les mots, refléter les infinis : et lui en viendrait à bannir ceux qui veulent en diriger les vies. jusqu'à se perdre dans les néants.

< position par rapport au dark vice > haine ou amour, à ne jamais réellement savoir, à juste traîner et approuver comme pour les travaux des ombres.



< applications favorites > youtube ,, spotify ,,

< position par rapport aux nouvelles technologies > ô plaisir d'en déchiffrer les rouages ,, plaisir de venir en brûler les océans. jusqu'à ce que tout ne hurle aux horizons. car il les aime autant qu'il les déteste. à se dire qu'il pourrait tout amocher ((faire exploser)) s'il le souhaitait.

< présence sur les réseaux ? > 6h

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ㅡ pseudo/prénom. ㅡ Hanamachin
ㅡ âge. ㅡ 19 ans
ㅡ pays. ㅡ Furansu
ㅡ connexion. ㅡ bcp trop/7
ㅡ commentaire. ㅡ je vous aime :hrt::hrt:
ㅡ personnage. ㅡ pré-lien de Laurieee
ㅡ groupe et sous-groupe. ㅡ50% & Sol
ㅡ crédits. ㅡ moi (ava) + pinterest





❝ long kiss goodbye

entre les abysses et abimes.






「 the night 」
where all begins

ˏ⋆
·˚ˎ
*
et dans toutes les nuits ; ils effrayaient. et entre les soleils, ils rayonnaient : pour tout détruire, ces gamins des nuits, à n'aimer personne. car Hwa détestait le monde, car lui en fuyait les chaleurs. rester seul, ne pas s'amouracher : ne tenir à personne, pour n'être que le dernier vainqueur à ces jeux immortels.

[ vivre et survivre. ]


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Sujet: Re: FICHES PERSOS -- Ven 5 Mai - 17:51
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Lee Ash
< Dust fade like memories >
< keywords > Ange • Violoncelle • Téméraire • Désolée • Esseulée

< caractère > Douce • Fragile • Faible • Souriante • Dépressive • Virtuose • Naïve • Souriante • Facile à vivre •  

ㅡ nom prénom + surnom ㅡ Ash, un nom qui ne porte comme signification que les cendres d'un bonheur lointain, des rires ternis par lui, Lee commun à tous pour une banalité sans preuve, le prunier de ses sentiments échoués. Pas de surnom pour celle qui possède en tout trois lettres étrangères en prénom. ㅡ date de naissance + lieu ㅡ Un 5 janvier 2020, à Busan, lieu aux odeurs iodées et scintillantes à chaque rayon de soleil. ㅡ origines + nationalité ㅡ Coréenne, comme si son visage et ces yeux ne l'indiquaient pas suffisamment. ㅡ âge + signe astrologique Une vingtaine d'années, qui n'ont pas toujours été si douloureuses, Capricorne, qui a pourtant peu de caractère quand on l'a compare aux autres, Cochon pour d'autres. ㅡ études + occupation ㅡ Etudiante en musique, violoncelle plus exactement, instrument mélodieux révélant ses pensées destructrices et dévastatrices. Egalement en mi-temps en tant que serveuse dans un café de quartier.ㅡ statut civil + orientation ㅡ Officiellement en couple avec cet homme qui fait d'elle sa marionnette , sa chose, celui qui la détruit encore plus à chaque rencontre, où ses sentiments anciennement présents n'ont fait que dériver vers son malheur.ㅡ statut social + finances ㅡ Elle survit avec ce qu'elle économise, dans des temps durs et délaissée.

< anecdotes > ㅡ o1. ㅡ Douce, telle le parfum de l'une de ces fleurs aux couleurs pastelles. Depuis son plus jeune âge, Ash s'est toujours montrée à l'écoute. Sage comme une image, elle était cette petite fille qui se fondait dans la masse, et disparaissait des radars de tout le monde. Invisible pour certains, inexistante pour d'autre, elle faisait de son caractère délicat et fragile sa marque de fabrique. Celle que l'on pouvait ignorer, et qui gardait un sourire doux sur le visage malgré tout.ㅡ o2. ㅡ Mélodieuse. Une symphonie sortant de ses doigts au contact de cet instrument particulier. Un violoncelle au bout des bras, signe de son expressivité et de sa vie, signe de combat et d’échappatoire.   ㅡ o3. ㅡ Fragile. Une véritable poupée de porcelaine où les passages de la vie restent graver sur sa peau délicate. Fine, une silhouette fragile et subtile, cassable au moindre coup adressé. Des lumières éteintes aux creux de ces prunelles noires, qui autrefois rayonnaient lorsqu'elle ne l'avait pas encore rencontré. ㅡ o4. ㅡ Désastre. Un cœur qui avait succombé trop vite, trop tôt. Une impossibilité de refus et de dire non. Une possessivité beaucoup trop impactante. Une envie d'avoir toujours raison, d'exercer sa force sur un être faible. Lui.Elle n'avait pas dit non, il lui avait vendu du rêve. Rêve qui s'était transformé en cauchemar. Sans moyen de s'échapper de cette réalité, elle reste prisonnière de ses bras, ses coups, ses blessures mentales. Piégée jusqu'à ce que tout s'arrête, jusqu'à ce que son corps ne puisse plus le supporter. Lui.ㅡ o5. ㅡ Harmonie de couleur, une galaxie gravée sur sa peau blanche. Bleutée, violacée, jaunie par le passage de cet homme sur son corps, elle osait à peine se montrer au grand jour. Attirant le questionnement, elle ne pouvait pourtant pas arrêter d'y aller. Ces cours, étaient sa vie, ce qui la retenait avec la réalité. Camouflage sur ces rougeurs et bleus au visage, et tout passait incognito. Personne n'y voyait que du feu. ㅡ o6. ㅡ Désespoir incessant, tristesse inégalable. Elle souriait pour ne pas s'attirer ses foudres, pour camoufler ses émotions. Tout allait bien. Elle n'y croyait plus. Cet amour passé qui n'avait été qu'un vaste songe, une vaste plaisanterie. Tout n'était que cendres brûlées par sa faiblesse et sa gentillesse. Elle était sa chose. Son jouet préféré, celui qu'il pouvait casser facilement, qui lui suppliait d'arrêter pour finalement revenir à la seule place qu'elle connaissait. Près de lui. Après tout, qui voudrait d'une personne aussi brisée ? ㅡ o7. ㅡ Naïve. Sa joie de vie simple, ne demandait pas grand chose pour atteindre le bonheur. Ces sourires marqués, son intelligence certaine, sa virtuosité, était pourtant attirant. Ses yeux pétillant de malice et de bonheur, elle croyait la plupart des choses sans remettre en question la parole des autres. Son rire éclatant, ses cheveux mi-longs attachés en queue de cheval, tout n'était pourtant qu'éphémère. ㅡ o8. ㅡ Meurtrie. Le seul travail qu'elle supportait pouvoir faire. Ses bras avaient du mal à tenir, mais elle le devait. Pour son instrument, pour son boulot, pour les quelques amis qu'elle avait. Elle ne disait rien à personne, essayait de rayonner de sa joie de vivre encore, telle un ange déchu auquel on avait arraché les ailes. Et c'est ce qu'elle était. Prisonnière dans une cage.  





< position par rapport à vice > Elle l'utilise, elle ne va pas le nier. Mais ce n'est pas de gaieté de coeur. Une obligation qui s'impose dans la société de tous les jours, qui ne peut pas empirer son état dans tous les cas.

< position par rapport au dark vice > Cet endroit où elle peut échapper à cet homme qui contrôle sa vie, cette personne qui détruit sa vie. Ici au moins, elle peut dire ce qu'elle pense sans se prendre des coups.  
< applications favorites >Youtube et Dark Vice, des endroits où elle peut trouver un peu de paix intérieure.

< position par rapport aux nouvelles technologies > Elle n'a pas vraiment d'avis marqué, du moment que cela lui ait utile, alors elle ne dit rien. Elle s'en serre, sans pour autant y être accrochée.

< présence sur les réseaux ? > Quelques heures seulement.

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ㅡ pseudo/prénom. ㅡ Hanatsuki ㅡ âge. ㅡ 18 ansㅡ pays. ㅡ France ㅡ connexion. ㅡ 7/7. ㅡ commentaire. ㅡ Encore moi. :sisi: Je vais essayer de me canaliser à 3, c'est bien 3 non ?ㅡ personnage. ㅡ inventé ㅡ groupe et sous-groupe. ㅡ 75% ㅡ crédits. ㅡvava : Kelly; icônes : Moses.;


Just a tragedy
We're just like this, brittle and unclear.


FICHES PERSOS Aee8cebec4d09675eaf2ecb69a1ac28c27edf365_hq


Under the cloudless sky, alone on a bench at the park, there are always days to think of someone. Whenever the world seems to be quieter than the usual will you look into my heart? This hole, so widely open in my body, if only I could fill it up...
Une vie sans mensonge, sans justification, sans blessure. C'était ce qu'elle avait demandé. Un regard pétillant de vie, parcourant les couloirs de cette université avec son instrument sur le dos, elle n'avait pas pensé le rencontrer ici, lui qui allait briser sa vie en fin et petits morceaux de verres coupant. Celui qui l'empêcherait de vivre, qui couperait ces ailes blanches que tout le monde pouvait voir à œil nu. Elle n'avait jamais rien demandé, quand son cœur, éperdu et aveugle d'amour pour lui avait cessé de battre au premier coup. Partir, si seulement l'envie lui venait. En ce conte de fée elle avait cru. En ses mots doux, ses regards emplis d'amertume, qui au cours du temps, c'était tout simplement transformé en regard sanguin. Allongée sur le dos, les joues sèches de larmes qui avaient déjà tracé leur chemin sur ce visage pâle aux couleurs bleutées, elle peinait à respirer, son abdomen se contractant à chacun de ses battements. Et si, un jour, elle ne se réveillait pas ? Si tout ce qu'il se produisait était pour elle ses dernières minutes de vie ? Tout pouvait déraper. Ce non contrôle de sa colère, cette violence sans barrière, ses mains sur son corps, elle n'en voulait pas. Elle n'en avait jamais voulu. Personne n'en aurait voulu.

Les jambes chancelantes, des ecchymoses visibles, mais camouflées derrière ces longues jupes plissées et serrées à la taille, elle avait relevé ses cheveux soyeux en chignons décoiffés, un simple t-shirt, et sur ses doigts, de la magie qui opérerait sur son visage comme chaque matin. Le ventre retourné, ce masque qu'elle appliquait sur sa peau, une peinture cachant la réalité. Un visage blanchâtre, des yeux rougis, de temps en temps une lèvre fendue, c'était tout ce que les gens pouvaient voir. Sa Persona, ce qu'elle acceptait de montrer aux autres, une protection sans en être une. Cacher sa peine comme une artiste tourmentée et en détresse. Ses bras fins arrivaient à peine à soulever son instrument pour le mettre sur son dos. Immoral et anormal. Signe d'une faiblesse grandissante. Quand n'avait-elle pas eu un repas normal sans avoir envie de tout vomir ensuite ? Aucune idée, bien trop longtemps. Mais personne n'y voyait que du feu. Ce théâtre que tout le monde voyait comme une pièce d'amour sincère, n'était en faite qu'une mascarade.

Et pourtant, douloureux soit-il, sa mélodie raisonnait toujours entre les couloirs. Ce sont pur et orné de pureté, s'était transformé en cris de détresse. Plus de joie ni de majeur, un passage brusque en mineur, des modérations en pluie filante, des regards indiscrets, étonné de voir que cela provenait d'elle. Elle qui autrefois respirait les sourires et les rires, qui était la plus douce de la classe. Douceur éphémère transformée en goût amer de contrôle et terreur. Aveugles et sourds de sa douleur, elle sortait toujours de l'université à contre cœur, allant ensuite travailler pendant des heures, le plus possible, pour éviter de rentrer dans cet appartement horrible. Il n'avait jamais été le sien. Des rêves brisés en moins d'une année. C'était comme cela que ça avait fini. Son masque s’effritait un peu, pour laisser rayonner son sourire face aux clients. Celui qui pouvait illuminer la journée de tous. Cet endroit, elle l'adorait. Des collègues adorables, des clients réguliers qui se souvenaient de son visage. Tout ce qu'elle voulait, était de rentrer chez elle sans avoir peur de ne pas se réveiller. Ou peut-être était-ce le contraire. Elle voulait se réveiller de ce cauchemar.

Sa Love Alarm sonnait de temps à autre, tandis qu'elle préférait se réfugier sur son opposé, celui qui la laissait parler à des inconnus dans le silence. Et elle y tenait. Cela lui remontait le moral, la confrontait à ses choix. La fille gentille et sage qu'elle était n'était au final qu'une façade d'elle qu'on avait brisé. Son corps fragile l'était déjà, mais pas cet esprit. Niaise, sûrement, rêveuse était plus adapté. Les moqueries elle s'en fichait. Maintenant, elle respirait pour elle. Si personne ne voulait d'elle, alors elle se débrouillerait dans cet enfer infernal et incessant. Oui. Elle vivrait, qu'importe ce qu'elle devait subir et supporter.


This hole, so widely open, don't hide it from me. Let me see it. Bandaging your injuries however I please, so that I can distance myself from the world, I will become your wounds.

King Gnu - The Hole

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Sujet: Re: FICHES PERSOS -- Ven 5 Mai - 17:51
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Yoon Saebyeok
< frozen road, frozen heart>

< keywords >
Et il était l'aube , lui, celui qu'on qualifiait d'ange déchu, un être infâme aux ailes déchirées. Éphémère qu'il était, avec cette dualité permanente, qui lui causait tant de problèmes. Effrayé des contacts, lui qui n'hésitait pourtant pas à cracher sur les autres, qui n'hésitait pas à devenir un cauchemar ambulant.


< caractère >
sarcastique - effronté - lunatique - égoïste - possessif -  irritable - ironique - Réaliste - protecteur


❅❅❅
ㅡ nom prénom + surnom ㅡ Lumière éternelle, soleil levant illuminant les cieux, poésie gracieuse sur des sonorités sèches Saebyeok, alors qu'il n'est en rien une bénédiction pour tous. Et d'une banalité sans façon, alors que les couleurs se dispersent dans le ciel bleuté pour y déposer quelques rayons de soleil perçant, Yoon, cruel destin d'un ange déchu. Et il y avait cette abréviation pour personne, pour celui aux ailes coupées que l'on ne voulait nommer correctement, Sae, a leurs risques et périls ceux qui s'y tentaient.

ㅡ date de naissance + lieu ㅡMélodies des nymphes, créature qu'ils s'étaient imaginé être un ange qui au final cachait un démon déguisé, ailes coupées un 31 décembre 2017, jour où la solitude règne, où à la pleine lune il se transforme en être sans merci, sur son île de Jeju qu'il a si vite quitté pour rejoindre le pays. Enfant de la neige, frigorifié, qui ne pouvait plus s'enfuir.

ㅡ origines + nationalité ㅡ Rythmes endiablés, ultimes racines que les dieux on bien voulu lui accorder, il est coréen, même si son sang jongle aussi d'ancienne aires japonaises du passé.

ㅡ âge + signe astrologique  Age d'or passé pour le soleil qui se lève, 23 ans, celui que les astres ont maudits de toute part pour le réincarner en capricorne, violence et cornes maudites pour son éternel plaisir, amertume sublime d'un être dont le cœur était défaillant.

ㅡ études + occupation ㅡ Irréprochable, celui qui ne se maîtrise pas dans ce qui est important, qui fait tout foirer qu'importe les solutions, il enchaîne les petits boulots, lui dont le caractère fait fuir les clients et dont l'amabilité tue sur place. Actuellement, il travaille dans un combini comme employé polyvalent, seul patron qui a bien voulu le garder pour sa maîtrise de la chose et son expérience, malgré son caractère enflammé qui parfois effraie les clients.

ㅡ statut civil + orientation ㅡ Ultime solitude, tête écervelée dont personne ne voudrait, pas même le plus courageux de tous, lui, il marche seul, il est célibataire, peine de cœur qu'il veut éviter d'ajouter à sa collection, cassant alors plus ceux des autres que le sien emprisonné dans son torse glacé. Pourtant, comme le soleil de l'aube qui ravive les couleurs du temps, il se dit pansexuel, pour remonter les codes qu'il écrase à coups de poings.

ㅡ statut social + finances ㅡ Qualités des plus certaines qui ne faisaient pourtant pas gagner les astres les plus élégants, modeste voire faible alors qu'il se dépasse pour payer les factures, qu'il galère tout simplement et qu'il accumule sans réussir à faire grand chose. Dettes familiales qu'on lui balance à la figure quand l'occasion leur plait, quand on le fait passer pour un moins que rien.
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Et l'temps passe comme les reflets du soleil sur l'horizon, et les souvenirs s'amenuisent comme les gouttes ruisselant sur ses joues




< anecdotes >

ㅡ o1. ㅡCelui qui était né trop tôt, celui qu'on aurait pas voulu voir. Pleurs qui s'étaient taris beaucoup trop vite, beaucoup trop tôt avant que l'on exprime du dégoût pour lui. Ailes coupées dès que les flocons se posaient au sol. Il était celui que l'on détestait, celui que l'on ne voulait pas voir, alors qu'il était le petit dernier indésiré, celui dont le frère serait plus aimé que lui, celui qui, en quelques secondes, savait qu'il allait tout simplement devoir survivre face à ces gens qu'il ne voulait déjà plus voir. Ange déchu, de ceux qui avaient voulu une petite princesses à chérir.

ㅡ o2. ㅡ Haine honteuse qu'on avait balancé sur lui, alors qu'il se forgeait son caractère de guerrier. Père violent qui s'en prenait à sa famille, personne ne disait rien. Sauf lui. Il avait grandi comme à l'écart de tout, hors des barrières familiales. La religion qu'on lui avait imposé, ou plutôt qu'on avait tenté de lui imposé, il l'avait balancé d'un coup de main. Rébellion beaucoup trop tôt, pour cet astre sans lumière qui essayait de briller qu'importe les tentatives. Paroles qui sortaient plus vite qu'il ne l'aurait voulu, lui qui assumait d'avoir sombré dans ce modèle que personne ne voulait.  Lui il brisait les codes, terreurs de ses classes au lycée, celui dont on se méfiait pour sa franchise et sa sécheresse, il en avait cassé des rêves. Démon décharné qui laissait s'abattre sur les autres la dure réalité de la vie. Ce que personne n'avait prédit. Lui n'était pas un valet. Et il était un prince dont la couronne était aussi noire que son cœur. Lui, il dirigeait les autres, il les ruinait.

ㅡ o3. ㅡ Sportif, qui d'une passion, en avait réunit deux. Arts japonais qui avaient eu le méritent d'attirer son regard, celui dont les ordres l'insupportaient et qui pourtant possédait un respect et un esprit digne de n'importe plus grand auteur. Aucune étude, regrets qui l'avaient marqué plus qu'il ne l'aurait voulu, lui qui enchaînait les boulots à plein temps, il avait pourtant craqué, déjà jeune, sur ces activités qui peuplaient le ciel et les astres. Le kendo et le kyūdō, qu'il a pourtant dû arrêter en quittant sa famille, coût trop cher de toute manière. Alors les bases lui servaient, quand il devait intimider les autres, quand les branches de bois se transformaient en sabre par transmutation, quand la précision de ses lancés touchaient toujours leurs cibles. Paillettes aux yeux, pour celui dont les envies avaient explosé en nébuleuses désertiques, aspirant avec lui ses prunelles de gamin aux rêves éparpillés.

ㅡ o4. ㅡ Lui n'était que poussière, celui dont on retenait le visage pour ses mots acérés et pourtant si sage. Il était d'une dualité sans merci, d'un caractère qui alternait entre flamme incandescente et visage calme et fermé. Pas de sourire de rédemption pour celui qui avait à son tour brisé les espoirs d'autrui. Il s'était envolé de chez lui, frère qui pourtant avait essayé, enfin sans doute. Il ne l'avait pas écouté. Lui, ces conneries de famille ne l'intéressait pas. Mot qui n'avait pas de sens à ses tympans. Il n'en avait jamais eu. Sans doute ne manquerait-il à personne cet ange sans aile qui essayait de tracer sa route dans les esprits des autres. Alors il jugeait, menait en ficelle ce petit groupe de personne, ceux qui avaient la rancune amère, des rejets de la société. Et ces fichus portables qui foutaient tout en vrac, lui, il les réduisait en cendre.  Ou alors était-ce lui qui, de ses ailes brisées, s'envolait en des cendres inatteignables pour tous.

ㅡ o5. ㅡ Au creux de ses mains, s'envolaient les envies irrationnelles, lui qui ne savait faire que ce que sa tête lui disait de faire. Pourtant, celui qui avait déjà pensé pouvoir devenir un super héro n'était plus que poussière. Et lui, lui aux idées déchues d'une vie sans encombre faisait pourrir celles des autres pour son propre plaisir. Dérive de l'âge qui s'abattait sur tous, poison venimeux qu'il laissait s'abattre sur quiconque osait rêver un peu et poser leurs globes sur les astres éphémères des cieux sombres. Serpent, dont la rationalité sifflait de toute part. Ennuyeux pour certains, alors que lui même se découvrait l'envie de vagabonder sur les sables doux des plages à la tombée de la nuit, jusqu'à ce les astres solaires ne se pointent pour le caractériser lui, l'aube.

ㅡ o6. ㅡ Lui, la nuit et le jour, ange et démons qui s'interposaient à chaque moment de sa vie, il était d'un naturel calme, celui qui, aux paroles sanglantes laisser les sourires se fendre en de précieuses larmes, lui, qui, sans force physique arrivait à faire plier ceux qui l'entouraient. Méchanceté pure qu'il traduisait pas la dure réalité des choses. La vie n'était pas toute rose, comme pouvait le montrer les ciels d'été qui se coloraient sous la disparition du soleil dans ses horizon. Lui, n'était pas l'aube, il était cette pleine lune qui en effrayait plus d'un, qui se teintait parfois d'un rouge vermillon jusqu'à en faire frémir plus d'un. Lunatique, comme on l'appelait, lorsque ses nerfs dérapaient, lorsque sa voix sortait et que ses poings parlaient plus vite que sa tête. Quelques secondes suffisaient pour le faire changer de caractère sans qu'on ne puisse le calmer. Colères qui n'arrivaient que quand on le cherchait, que quand on allait trop loin avec lui. Et c'était pour cela, que les têtes hautes avaient décidé de ne jamais le garder à un poste stable, clients qui en prenaient plein la figure en permanence. Alors seul combini, seul cette endroit, où la nonchalance s'en dégageait jusqu'au travaux inachevés de celui qui ne les regardait à peine.

ㅡ o7. ㅡ Et c'était dans la fraîcheur nocturne, que l'ange déchu trouvait rédemption. Là, qu'il pouvait se reposer les cheveux au vent sous les lumières amères des villes en destruction. Il réfléchissait, sans doute beaucoup trop, car malgré ses airs, il avait toujours été quelqu'un de réfléchi, quelqu'un de cultivé et de sérieux. Pourtant les éclairs et ses foudres s'abattaient sans s'arrêter, à celui dont on ne voulait pas croiser la route comme celle d'un cruel présage. C'était dans la solitude, loin des contacts humains, qu'il se sentait être le plus lui même, identité retrouvée, sans que ses humeurs ne puissent influencer quoi que ce soit. Les astres l'accompagnaient dans ses descentes, dans ses pas sans aucune signification pour personne. Il ne savait pas lui même, pourquoi il marchait. Les rêves, qu'une chose éphémère dont personne ne devrait s’amouracher. Car cela tuait, de croire, car cela faisait mal, d'espérer. Et à l'abris des contacts, à l'abris de ses peurs, seul comme l'une de ces étoiles errant dans le ciel, lui, filait sans éclat, dans les abysses des océans.

ㅡ o8. ㅡLui, dont la couronne ornait si aisément le crâne de ses multiples joyaux, de cet homme au visage angélique mais si démoniaque, de cet astre, dont la lumière si pure avait disparu. Lui, oui, lui qui à la solitude inavouée donnait deux noms : force et peine dissimulée. Mensonge qu'il s'efforçait de penser pour s'éviter les pires douleurs. Les touchers, il les envoyait balader d'un mouvement de main, tel des météorites fusant dans le ciel. Fureur d'un regard pour ceux qui osaient le faire. Et outre les poings et les douleurs, il les redoutait encore plus, sauf provenant des rares qu'il côtoyait. Plus effrayé encore que les pluies ardentes et venimeuses que lui lâchait sur ceux dont la morale était compromise.


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< position par rapport à vice > Il s'en fout. Modernité qui ne l'atteint pas, qu'il trouve dérisoire. Comme si les gens n'étaient plus capables de gérer leurs propres affaires sans avoir à passer par leurs téléphones. Et puis, cette Love Alarm qui casse les oreilles aux moindres coins de rue, c'est juste énervant. Lui il préférait avant. Quand les gens savaient encore utiliser leurs deux mains et leurs talent de drague. Pour autant, il s'en amuse, joue avec, pour mieux blesser les autres qui s'entichent de cette idiotie.

< position par rapport au dark vice > Ça aussi il s'en moque, même s'il préfère largement à Vice et qu'il l'utilise plus souvent pour communiquer incognito. Détresse ultime qui se dégage de la férocité qui l'emprisonne, qui le fait déverser sa haine sur otus.
< applications favorites > Triste faiblesse de s'avouer dépendant de certaines, lui n'utilise que Youtube, seule et unique chose qui lui fait passer son temps quand il ne travaillait pas ou alors quand il ne traînait pas dans les rues noires et leurs environs.

< position par rapport aux nouvelles technologies >  Il s'en fiche, lui ne veut pas être dépendant de ces appareils qui dénaturent la vie, qui prennent le contrôle des gens sans même qu'ils ne s'en rendent compte. Vicieux, aires dans laquelle il aurait sans doute préféré ne pas naître, quitte à se décharner sur ceux qui étaient bloqués leurs écrans.

< présence sur les réseaux ? > Très faible, sans doute maximum 2h en tout, juste parce qu'il n'aime pas les utiliser, et qu'il se fiche pas mal de savoir s'il en avait le besoin ou non .

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ㅡ pseudo/prénom. ㅡ Hanana le boulet de service mais vous me connaissez déjà  :shyy:  ㅡ âge. ㅡ 18 yrs old ㅡ pays. ㅡ Frankreich ㅡ connexion. ㅡ Toujours là pour vous servir.ㅡ commentaire. ㅡ Je vous aime trop j'crois...Et celui là il est pour Asa :hrt: J'espère qu'il te plait un peu quand même :beyes:ㅡ personnage. ㅡ inventé ㅡ groupe et sous-groupe. ㅡ Chieur c'est un groupe ? Nan ? Sinon 50% j'pense ㅡ crédits. ㅡ Calypsie (vava) ; mistborn, stranghell, vocivius, RENEGADE. (icons)


Glassy sky
because you cannot fly anymore, because it's broken dreams

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(( HOW MANY DAYS HAVE PASSED LIKE THIS ? ))

Éternité de ces paillettes qui brillaient dans les yeux des gamins. Poudre féerique, que sans doute tout le monde possédait, sauf lui. Lui, dont le dos gardait ces cicatrices d'ailes arrachées dès sa naissance. Alors il n'avait jamais volé, si ce n'est dans l'ombre de celui qu'il aurait voulu considérer comme son grand frère. On avait voulu l'abandonner à son sort. "Qu'il se débrouille. J'en ai jamais voulu" Paroles qui, encrées dans sa peau avaient mené à créer un monstre dès son plus jeune âge. Et il se souvenait pourtant, celui dont les cornes avaient poussées, de ses sourires, de ses tentatives désespérées de s'accrocher aux jambes de deux parents inexistants. Bleus sur le corps dès qu'il s'approchait un peu trop, dès qu'il avait essayé de démontrer cette affection éphémère qu'il s'était imaginée. Maintenant, poussière qui s'était dispersée, pour celui aux prunelles noires qui ne croyait plus aux contes de fées, pour celui dont le mot amour ne signifiait absolument plus rien. Désastre humain qu'il était, cauchemardoué de mots qu'il conservait comme image.


(( THE CITY, THE CROWD IS FADING, MOVING OBN))

Envolé de la maison beaucoup trop tôt, pour celui qui avait voulu se débrouiller par lui même, par celui qui avait voulu n'avoir plus aucun rapport avec ces gens qui lui étaient inconnus. Il avait fuit les cours, fin de lycée en guise de début de floraison astrale. Et il avait enchaîné, ô combien tout avait été si dur de se trouver un endroit stable. Sale caractère, ce démon beaucoup trop franc et qui remettait les clients à leurs places, regard beaucoup trop insolent, celui dont les iris brûlaient d'un feu incandescent. Et pourtant il était là, là derrière cette caisse toute la journée, là à travailler la nuit pour payer les factures, là à essayer de garder son logement précaire qui tenait au creux de ses paumes. Alors il avait bossé dur, celui au visage pourtant si doux et à la petite taille, il n'avait pas renoncé, quitte à s'en salir les mains, quitte à devoir se défouler pendant ces nuits si tumultueuses où l'envie de tout casser le prenait. Roi déchu dont la couronne était tombée depuis longtemps, qui avait roulé jusqu'à arriver à ses pieds. Le dernier survivant, celui qui devait rester debout pour survivre et récupérer ses ailes noires.



(( SOMETIMES I HAVE WONDERED WHERE YOU'VE GONE, STORY CARRIES ON...LONELY, LOST INSIDE ))

Océanide du diable qui l'attiraient au fond des précipices, lui, dont les pieds avaient touché le bout sans réussir à ne revenir à la surface. Frayeur des plus évidente pour celui qui n'avait jamais appris la sagesse de ces gestes, nager. Ô combien il aurait aimé, avant de ne finir au bord de l'asphyxie. Celle qui aurait pu causer sa perte mais qui n'avait fait qu'agrémenter cette haine en lui. Faiblesse dont il n'avait parlé à personne, honte sur celui dont le toucher de ces larges étendues n’effrayait pourtant pas, lui, n'y mettait jamais les pieds. Accident opportun qu'il aurait pu apprécier si les souvenirs n'étaient pas restés, lui qu'on avait poussé dans ce bassin sans lui venir en aide. Vague histoire d'une enfance embrumée par la haine, alors qu'il naviguait la nuit, défoulant sa haine sur tout ceux qui pouvaient l'entourer. Et les nuits, il cassait ce qu'il pouvait, et le jour, il laissait ses joutes verbales pour ceux qui avaient le plus grand malheur de tomber sur lui. Peu s'aventuraient à essayer de faire sonner cette alarme pour ses airs les plus doux, qu'il pouvait réduire en miette en un claquement de doigts.



(( I HAD THIS DREAM SO MANY TIMES ))

Gamin insupportable que l'on voulait claquer, il ne l'était pas forcément toujours pourtant derrière ses mots durs et ses facettes lunatiques. Non, fils de la lune, solitaire désespéré, pour celui qui, malgré tout en restait humain sous ses masques dissimulés. Le diable en lui avait prit l'habitude d'aider ceux dont il en pensait digne. Des petits vieux avec leurs affaires lourdes qui peinaient à se déplacer, des types aux allures étranges qui emmerdaient d'autres gamins. Il cachait cette apparente gentillesse et générosité derrière des mots qui ne suivaient pas, des paroles remettant en cause l’existence de tous. Et il était complexe, cet ange déchu, tellement que personne ne le comprenait. Ne pas se laisser avoir par ses faux airs d'étoiles, sans doute la seule règle à respecter, car il n'en restait pas moins toxique. Venin qu'il dissipait malgré ces rares moments d'illusions. Méconnaissable dans la foule, regard tranchant qui semblait si doux. Non, lui, était bien descendant de ce démon à corne, pour venir brûler les terres éphémères et ne laissait de visible que les gracieuses étoiles dans le noir.



(( THE MOMENTS WE SPENT HAVE PASSED AND GONE AWAY ))

Et c'était la nuit qu'on le voyait, cet être des marécages nébuleux. Ô sous cet astre sublime qu'il ressemblait à ces ombres que l'on pouvait confondre. Travail qui se finissait tard, et lui, n'hésitait pas à déambuler dans les rues. Il ne frappait pas, ce n'était pas son genre. Torture morale bien plus douloureuse selon lui que les coups qu'un corps pouvait recevoir. Alors il cassait, lors des manifestations, juste pour le plaisir d'entendre le verre se briser à ses oreilles, il entraînait les gens dans sa chute. Haine terrible qui se livrait pour celui qui visait parfaitement dans les rues et qui savait esquiver sans doute mieux que quiconque. Défouloir ambulant, qui s'accentuait quand il se faisait embarquer dans les méandres des poings et des coups, revenant parfois chez lui la peau tuméfiée. Nuits qui signaient l'apparition d'un démon qui ne comptait pas se laisser impressionner par la pureté des prunelles des autres sur lui.



(( COULD THERE BE AN END TO THIS ? WHAT I"M FEELING DEEP INSIDE ?  ))

Annihilation de ses émotions qu'il avait réduit à de la simple faiblesse d'esprit, ses airs de beauté cachaient en lui bien des tumultes qu'il se cachait bien de révéler. Il y avait lui, celui qui lui appartenait, et cet autre type, celui qu'il ne voulait absolument pas croiser, ne serait-ce qu'en photo. L'un qu'il maltraitait par plaisir, l'autre qu'il voulait juste oublier complètement. Il était le grand méchant loup. Alors il voulait le détester, ce grand frère qui lui pourrissait l'esprit. Il ne se souvenait même plus de ce qu'il avait fait pour lui, inexistant, quoi qu'il ait bien essayé de vouloir lui dire. Et ça, il ne pouvait tout simplement pas l'oublier. Le ruiner, celui à qui la couronne était revenue de droit, la lui prendre et la lui briser en deux pour le faire descendre de son trône de verre. Le briser, le faire regretter d'être né, de ne pas avoir été là visiblement,  comme on le lui avait tant reprocher. Comme il n'avait exitsé que comme une ombre des ténèbres et des anges. Jeux des dieux qui s'amusaient avec lui auquel il ne voulait pas participer. Lui, il jouerait son propre dé, son propre destin.  


(( YOU KNOW THERE'S NO LOOKING BACK ))

Jeux des cœurs, celui qui parfois laissait sa love alarm sonner pour s'amuser, et pour mieux blesser. Peine dont il s'amusait, sentiment qu'il qualifiait de factices pour ceux qui l'entouraient. Celui dont on avait peur mais qui attirait. Visage toujours calme, dont on savait pourtant que lorsqu'il entrouvrait ses lippes charmeuses, rien de bon n'en sortait jamais de toute façon. Et comparé aux autres, lui ne succombait pas aux délices des visages, ni même à celui des corps. Attirance qui ne comptait pas dans la prise en compte des sentiments. Alors il s'amusait, amenait l'expérience jusqu'à son apogée, avant de briser les rêves de ceux qui y croyaient. Jamais, il ne se laisserait corrompre par des sentiments aussi affectifs. C'était lui, sa devise de démon brisé, de celui qu'on avait anéanti en un être amer qui appréciait observer les visages se décomposer sous sa langue envoûtante, sous ses prunelles constellées d'étoiles mortes. Désespoir qu'il aimait causer. Dont il aimait tourner en dérision. Parce que les sentiments n'étaient qu'une chose illusoire, qui ne faisait que se blesser soi-même.


(( GLASSY SKY - THE COLD, THE BROKEN PIECES OF ME ))

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rhee jonghwa
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Sujet: Re: FICHES PERSOS -- Ven 5 Mai - 17:51
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Seon Jaehee
< the demons eating myself like a dish >
< keywords > parasomnies - hallucinations - prisonnière - démons - fantôme - frigide - étrange - illusions

< caractère > téméraire - effrayée - habile - délicate - compatissante - imprudente - insomniaque - créative - élégante



ㅡ nom prénom + surnom ㅡ

Démons dans la tête, celle qui avait échappé aux astres lumineux, elle était la lune, que l'on avait doté d'un prénom si mélodieux, Jaehee, une harmonie des sonorités pour celle dont l'on avait décidé qu'elle devait exister et briller, comme les plus belles étoiles dans un ciel noir. Pourtant, éteintes sous ses yeux vides, nom d'une famille à la réputation inégalée, Seon, aux affaires familiales bien ancrées, tandis que personne ne l'appelait par autre chose que son prénom savoureux, si ce n'est le fantôme, aux longues mèches noires.

ㅡ date de naissance + lieu ㅡ
Sous les éclats de minuit, elle, qui des étiles avaient été choisie pour être dominée par les ombres, douceur éternelle qui s'était abattue directement à Busan, sous la pénombre d'un 17 octobre 2017, car ô combien tout avait été prédestiné, ô combien elle savait qu'on l'avait maudite d'une malédiction, cette poupée aux yeux ébènes.

ㅡ origines + nationalité ㅡ
Air marin surplombant les cieux dévastés d'étoiles, bruit des vagues, hurlant sur les sables chaud de cette ville marine, ô que les douces mélodies des ombres avaient transformé en un terrain de jeu pour ceux qui la hantaient nuit et jour, coréenne, là où les fantômes du passé la suivaient jusqu'à l'en faire craquer, là, où ceux du pays, ne la voyait comme une folle à laquelle l'on avait posé un prénom sur une idylle bien trop flagrante, un jour, qui avait tourné au massacre de ses sens.


ㅡ âge + signe astrologique
Elle si délicate, elle qui aux mains d'or, délaissant des paillettes si éphémères sur son passage, regard vitreux qui était censé la représenter, elle avait 22 ans, la noiraude à la peau pale, fantôme des étoiles, lumière éteinte. Et elle représentait l'équilibre, d'une douceur que l'on imaginait à peine, suivi d'un signe qui la rendait encore plus digne, que l'on pose sur sa tête ce rôle d'héritière modèle qu'elle n'avait pu éviter, balance, car ce n'était qu'à elle, que dépendait ses sourires ridicules.  

ㅡ études + occupation ㅡ
Désir de ses parents si haut placés dans l'industrie du luxe, elle n'a fait que suivre les ordres, héritière sans nom, petite bourgeoise qui voulait s'enfuir pourtant si loin, elle était employée dans une boutique de vêtements assez luxueux, où elle devait supporter les sautes d'humeur des clients dédaigneux, impolis, qui se prenaient supérieurs, tandis que ses compétences lui permettaient à perfection l'art de la couture et des retouches, qui ne lui déplaisait pas tant que cela, lorsqu'elle pouvait créer à son tour sa garde robe si fleurissante.


ㅡ statut civil + orientation ㅡ  
Seule, elle que l'on n'osait à peine approcher. Emprisonnée, dans cette cage aux barreaux de fer, personne ne la voyait, de son allure blafarde, personne ne la regardait, celle aux cheveux noirs qui se balançaient dans son dos. Célibataire, celle qui n'avait d'yeux pour personne, qui ne voulait pas aimer. Car les gens étaient effrayants, les gens n'avaient rien de ce qu'on lui avait décrit, et elle, asexuelle sans n'avoir testé quoi que ce soit, n'avait que l'envie de bafouer les regards, jusqu'à trouver celui qui la ferait s'envoler de ce piège de fer.

ㅡ statut social + finances ㅡ
Ô elle n'avait été conçue que pour la reprise, elle, elle n'avait été vue que comme cette enfant de riches, qu'elle voulait pourtant fuir comme une infection incurable. Mais on lui avait brisé les ailes, une a une, jusqu'à ce qu'elle s'extirpe de leur emprise comme une coquille vide. Mais nulle part où aller, juste cette chambre en haut d'une tour qui avait toujours été sienne, et dans laquelle, elle pouvait y voir, les mirages qui avaient élu domicile dans sa tête.




L'obscurité m'suis jusqu'à trouve mon cœur, qui même des ombres nocturnes les plus glaciales , commence à geler sous les pleurs des cauchemars éveillés




< anecdotes >

ㅡ o1. ㅡ

Tête aux cheveux noirs se balançant dans les airs, gaieté d'une gamine qui découvrait les joies de vivre les plus fugaces, elle était téméraire, celle qui courrait dans tous les sens et qui ne ressemblait pas à ce que l'on aurait voulu d'elle. Née dans les espoirs de faire d'elle celle qui redorerait la famille, celle qui, dans de nombreux cas devrait faire office de ce visage si doux qu'on lui demandait, on avait voulu faire d'elle une poupée blanchâtre, sans émotion, qui souriait et riait à tout et n'importe quoi. Faire bonne figure, au milieu des autres familles, faire mine d'excellence, alors qu'on tentait de la brimer à chaque rire un peu trop fort. Education serrée, stricte, un peu trop, on lui avait appris à ne pas courir partout pour se cacher derrière les rideaux, on lui avait enseigné les arts et manières de se comporter comme une sage demoiselle de la cour. Non, elle, beaucoup trop fragile encore, alors qu'on ne la laissait pas faire ce qu'elle voulait, dans ce manoir sans vie. Enfant plein de vie, que l'on voulait voir obéir aux adultes, aux aînés, que l'on voulait voir restreindre ses étoiles dans ses yeux, alors qu'elle devait poursuivre ses études comme celle qui allait représenter la famille. Celle, qui allait devoir suivre les pas des plus grands.
ㅡ o2. ㅡ

Alors on l'avait enfermée, la gamine esseulée. Pièce noire, close à double tour, comme pour la calmer quand l'excitation était trop présente. Il y avait eu les pleurs, les cris de peur, les ongles grattant contre la porte. Pourtant ce n'était que pour quelques heures, jusqu'à ce qu'elle ne recommence, encore et encore. Jusqu'à ce que les démons ne la dévore entièrement. Car ô combien l'on savait que la demoiselle avait peur du noir, ô combien on ne l'avait pas mise dans ce cachot des ténèbres non par hasard. Et les pleurs s'étaient accentués. Les ombres avaient bougé, sous ses prunelles humides. Voix entendues, pourtant inexistantes. Et elle avait paniqué, elle avait succombé, à ses peurs, elle s'était laissée allée, l'enfant qui n'arrivait plus à fermer les yeux sans s'imaginer que l'on ne l'attrape pour venir la détruire. Oh oui, on l'avait réduite à cette poupée éternelle qu'on avait toujours voulu. Cette gamine, dont l'énergie pourtant si appréciable, s'étaient transformée en marionnette que tout le monde considérait comme parfaite. Alors les cheveux sous la brosse, démêlant soigneusement ses fils noirs, elle, qui, aux reflets si perspicaces, aux iris si vides d'étoile, sonnait terriblement faux. Et elle voulait crier, car les monstres, ne l'avaient pas quitté.

ㅡ o3. ㅡ

Car quand les sourires sonnaient, pour faire plaisir aux parents, elle, ne savait plus comment agir, avec les gens de son entourage. Ecole, lieu qu'elle aurait bien aimé fuir, la gamine au visage calme et silencieux, elle effrayait les autres, de sa peau porcelaine et de ses globes aux couleurs terreuses. Railleries subies, qui des plus jeunes pouvaient être assez conséquentes, elle était pourtant restée téméraire, celle que l'on avait délibérément restreinte. Elle était ce fantôme que l'on fixait de pupilles un peu dérangées, elle était cette bonne élève, pour faire bonne figure malgré tout. Ô que les rangs de l'école ne l'avait jamais tentés, elle qui préférait courir sur les dunes d'herbe et se rouler dedans jusqu'à n'en plus bouger et jusqu'à en tâcher ses robes blanches, juste pour faire réagir ses parents et finir de nouveau enfermée. Oui. Elle n'était plus cette gamine faible qui se laissait faire sans aucun mot. Parce que les démons nocturnes, elle vivait avec à présent, et que tout ce qu'elle voulait, était partir le plus loin sans jamais se retourner, sans ne jamais verser d'autres larmes.

ㅡ o4. ㅡ

Et elle s'échappait, celle au longues mèches ébènes, qui s'écartait pour pouvoir s'isoler. Quand elle ne s'envolait pas de sa cage pour aller chercher les sommets des belvédères, s'y posant pour rester à l'abris des regards inconscients. Pourtant, ô combien elle aurait aimé qu'ils ne la suivent pas, elle se retrouvait à chantonner des airs mélodieux, tympans fermés, que personne ne pouvait entendre. Passion des déités qui se permettaient de lui offrir ces temps de repos,  que personne ne pouvait entendre sans qu'elle ne prenne la fuite, elle. Parce qu'elle avait peur, cette colombe aux ailes si blanches, qui brûlaient petit à petit, jusqu'à en faire tomber ses si belles plumes. Mais la poupée aimait aussi se délecter de la peinture, de ces arts fugaces que les mains pouvaient offrir. Alors elle peignait, en dehors de son travail éreintant, elle chantait, quand les environs étaient hors d'atteinte de sa cage cauchemardesque. Parce que personne ne pouvait l'atteindre, elle, qui ne succombait pour les yeux de personne, elle, qui n'y connaissait rien aux sentiments que pouvait ressentir ce palpitant si idiot, elle, qui ne voulait pas écouter ces alarmes qui sonnaient pour un rien, pour un regard, pour une idée.

ㅡ o5. ㅡ

Lunettes de soleil sur ses iris apeurés, elle les gardait pratiquement en permanence, peur de ce qu'elle pouvait croiser sur son chemin. Car les monstres la suivaient, elle qui était la douceur incarnée, il la suivait, même quand le soleil tapait fort entre les nuages. Ils la hantaient, jour et nuit, au moindre de ses pas. Crises qui pouvaient lui arriver en plein milieu de la rue, en classe, ou alors la nuit quand son sommeil était dérangé, elle passait pour une folle aux yeux de ceux qui ne comprenaient pas. Qui le pourrait ? Les gens ne les voyaient pas, ces immondices qui lui attrapaient le corps, qui la paralysaient sur place en la faisant prononcer des paroles incompréhensibles. Mais c'était elle qu'on essayait d'éviter, et non eux. C'était elle, qui était le monstre, et non ceux qui se dissimulaient dans sa tête. C'était elle, toujours elle. Encore elle. Inventions de son esprit qu'elle tentait tant bien que mal de camoufler derrière ses médicaments et ses lunettes.

ㅡ o6. ㅡ

La nuit, proie complète de ces démons qui ne la laissaient jamais tranquille, elle s'agitait, elle, elle s'accrochait aux draps, de ses doigts si fragile. Parce qu'on ne venait jamais s'assurer que tout allait bien, on ne lui offrait jamais la moindre seconde de merci. Alors elle s'était habituée, à ne jamais fermer l’œil, car ce qu'elle voyait dans les cieux étoilés la perturbait bien plus. Seule. Terriblement seule. Sans doute que ces ombres mouvantes ne s'arrêteraient jamais. Hallucinations qu'on les appelait, alors que dans la nuit, tout devenait plus compliqué. Meubles déformés par la noirceur des pièces, tissus prenant la forme des cauchemars les plus intenses, elle, on ne la comprenait pas, alors que beaucoup d'enfants vivaient cela. Elle, elle n'était plus une gamine, juste une tête perdue comme toute, laissant parfois sa voix s'élever dans sa chambre, comme un simple écho, comme de simples pleurs, que personne ne pourrait comprendre, que personne ne voulait comprendre.

ㅡ o7. ㅡ

Métier délicat comme elle était, celui qu'on avait choisir pour elle, elle ne s'y plaisait pas réellement, cette fleur à la peau si douce. Alors elle s'était retrouvée dans cette boutique de luxe, vêtements étalés sur les étalages, accrochés à des cintres de manière si ordonnées, tailles alignées en ordre croissant pour faciliter les recherches des employés. Car il n'y avait que eux, qui touchaient les articles si bien cousus selon les désirs des clients. Pas un regard, pas un bonjour, et elle n'avait qu'à paraître la plus polie du monde, elle. Celle qui était sans doute la plus utile, qui savait faire les retouches nécessaires, celle qui en était pratiquement l'effigie de cette boutique. On y venait avant tout pour dépenser, mais de nombreux ne faisaient que passer pour voir cette poupée vivante qui souriait faiblement et en toute élégance à ces passants si imprudents. Et elle semblait si douce, si gentille, alors qu'en réalité, elle était des plus téméraire, quand quelque chose intervenait. Caractère assez étrange, différent que quand elle était  chez elle. Non, ce joyaux éteint savait s'énerver, elle savait aussi remettre délicatement les gens à leurs places. Il n'y avait que quand on s'attaquait à elle, qu'elle n'y prenait plus aucune passion, qu'elle laissait dire, alors que ses prunelles blafardes ne rayonnaient pratiquement que sous ceux qui dérogeaient à la règle.



< position par rapport à vice > Mitigée, la poupée a vécu avec, a grandi, entourée de cette technologie si efficace. Pourtant, elle n'en est pas adepte, ne l'utilise que par nécessité, et c'est très bien ainsi. Vice, ce n'était rien d'autre qu'un autre de ces démons qui la hantait en permanence, parce que même avec sa love alarm, elle ne peut y échapper, même avec les autres, elle ne pouvait la fuir.

< position par rapport au dark vice > Mitigée, elle n'y comprend pas grand chose. Elle ne veux pas comprendre. Parce que ces gens, la nuit, l'effraie plus que tout, même si elle en comprend les demandes et les envies. Elle ne cède pas, la Belle, elle ne tombe pas, elle, dans ces tréfonds qui la menacent déjà.
< applications favorites >Youtube. Elle n'utilise que celle là de toute manière, pas attirée par les réseaux sociaux.  

< position par rapport aux nouvelles technologies > Elle les utilise principalement pour son travail, car il n'y a que là qu'elle est obligée de faire avec.  

< présence sur les réseaux ? > 7h environs, seulement sur ce siège qu'elle n'est pas censée quitter de la journée.

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ㅡ pseudo/prénom. ㅡ Hanatsuki, votre admin toujours aussi boulet . ㅡ âge. ㅡ 18 ans, pas changé en 1 mois ㅡ pays. ㅡ France. ㅡ connexion. ㅡ 7/7. ㅡ commentaire. ㅡ B o n elle est bizarre...Mais elle est là :shyy: Pour qui voudra :shyy: Puis vous devez en avoir marre de moi  :worry: Promis c'est le dernier  :worry: ㅡ personnage. ㅡ inventé ㅡ groupe et sous-groupe. ㅡ 50%  ㅡ crédits. ㅡ Asa :hrt: (vava) + non uccidere (icons)


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où la nuit devient monstrueuse


Au secours

Aidez-moi

Dégagez !
                                             
Ils m'agrippent

J-Je deviens folle...

Pourquoi fait-il si froid ?

B
ruit sourd, contre son oreille si délicate, doigts fins, qui arrachaient ces cheveux pour les faire disparaître. Tout était si flou, si vague, sa peau hérissée, frissonnante, gelée. Elle n'était qu'une poupée de cire que l'on avait façonnée de telle façon à n'être qu'une simple demoiselle de cour. On ne la regardait pas, personne ne la voyait, sauf eux. Eux qui la détruisaient petit à petit, qui la faisait subir cet enfer. Sans doute aurait-elle dû les écouter, ceux qui n'avaient cessé de lui répéter qu'elle n'était qu'une immondice parmi tant d'autre, qu'une catastrophe tombée du ciel. Pourtant elle s'était toujours montrée amicale avec tout le monde, derrière ses sourires qu'elle pensait elle-même réels. Pourtant elle n'avait été que douceur, même avec ceux qui La haïssaient.  Tendresse inestimée, d'une gamine qui se laissait aller aux plaisirs de la vie, mais qui seule, ne parvenait à rien. Alors elle criait, celle dont les cheveux ébènes retombaient sur son visage, elle se blottissait contre son corps frêle, celle qui essayait d'éviter que les ombres ne l'attirent. Elle était malade, et elle le savait. Quant bien même, personne n'avait cherché à comprendre. Honte familiale, de n'oser l'emmener en établissement spécialisé, alors on l'avait laissé ainsi, à ces peurs qui la tordaient dans tous les sens, à son esprit, qui l'embrouillait plus qu'elle ne l'aurait voulu. Car elle n'était rien, elle, elle n'était qu'une jeune fille, qui était à la merci d'autrui. Un pantin désarticulé, qu'on avait essayé de briser pour mieux la manipuler.

Alors elle hurlait, dans le vide infini de sa maison, elle criait à la mort, de cette peur accrochée au ventre qui ne voulait pas s'en aller. Ombres tout près d'elle, se collant à elle, hallucinations sensorielles, qui venait à bout de esprit. Ô que les larmes se déferlaient sur ce visage si doux qui se se tordait sous les frayeurs qu'elle s'inventait. Ô que ses yeux rougis, n'arrivaient tout simplement plus à supporter le coup de la fatigue. Car tout n'était qu'une question d'apparence. Tout n'était qu'une impression équivoque. Il n'y avait jamais personne dans cette battisse, creux qui l'entourait et qui la faisait vivre un enfer. Et plus personne ne s'y attardait, alors qu'on l'avait toujours enfermée dans cette pièce si petite, jusqu'à se que son petit corps ne finisse par s'endormir lui même. On l'en avait empêché, de rire à haute voix, de courir dans les jambes de ses parents quitte à se prendre des coups pour la décrocher. On l'en avait punie, d'avoir cette joie de vivre qui dénotait par rapport à l'éducation qu'on avait voulu lui offrir. Et pour elle, les démons des placards existaient bien. Ils étaient là, toujours auprès d'elle, comme si l'on devait en finir rapidement. Car les nymphes et déesses s'amusaient parfaitement à la voir se plier de son corps si fin jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus résister, jusqu'à ce que ses longs cheveux noirs ne s'étalent sur ce drap si froid. Jusqu'à ce que les pleurs ne tarissent, et que sa voix ne s'estompe, pour ne laisser qu'un corps endormi soumis aux cauchemars les plus ignobles.


Et quand les cœurs fondent jusqu'à n'en laisser que des cendres


E
lle n'avait jamais aimé, jamais appris à ressentir car émotions toujours brimées par cette famille si stricte. Elle s'était envolée pourtant, beaucoup plus libre qu'auparavant alors qu'on la réduisait encore comme seulement du bétail. Sans doute que ses parents auraient accepté un mariage à l'amiable, si elle n'avait pas été si indépendante, si désobéissante encore à présente. Elle n'était plus cette enfant effrayée, loin de là. Elle avait appris à vivre avec, appris à se contrôler malgré ce que l'on pouvait parfois lui dire. Elle n'était pour certains qu'un monstre parmi d'autre, elle. Pas de frère, pas de sœur, juste un souvenir lointain d'un ami, juste un groupe à l'emprise étrange sur elle. Et elle cherchait à fuir de là où elle habitait, car elle n'en pouvait juste plus. Perdre leur descendance, c'était sûrement ce qu'ils avaient gagné à vouloir lui couper les ailes. Mais sa peau aussi pale que la neige n'y laissait rien prévoir, elle qui parvenait à s'échapper de cette cage si parfaite aux yeux de tous mais aux imperfections pourtant si notables. Alors elle travaillait tout en s'enfuyant le soir, marchant dans les pénombres avec ses lunettes teintées. Car elles l'aidaient, la rassuraient, comme si dotées de ces dernières elle était protégée de celles qui la suivaient. Faux. Mais ça l’apaisait, évitait parfois les crises, parfois les pleurs, au milieu de ce public inutile.

Alors elle s'enfuyait sur ces légères collines herbacées, qui surplombaient les bords de rivières et la ville. Et ce n'était que là, une fois la nuit, une fois qu'elle avait repoussé son sommeil, qu'elle pouvait se laisser aller à son repos, fixant pendant des heures le paysage, ou dessinant sur les légers carnets qu'elle emmenait avec elle. Désir des astres de la voir d'éteindre, délicatesse du vent qui passait dans ces fils maudits. Elle seule savait qu'elle devait rentrer à la bonne heure, mais qu'elle n'en ferait rien. Quitte à se faire hurler dessus, elle n'avait jamais eu rien à perdre, si ce n'est ses sourires disparus si rapidement. Et elle était silencieuse, celle qui communiquait très peu par les mots, préférant largement agir et faire des gestes incompréhensibles. C'était tout elle. Elle comme personne ne la voyait. Comme personne ne la connaissait. Elle était capable de se rouler dans l'herbe, de rire à voix pleine, alors que personne ne la regardait, alors que ses sourires s'effaceraient aussi vite.


Et quand les cœurs fondent jusqu'à n'en laisser que des cendres


B
lanche était-elle souvent vêtue, la belle qui contrastait avec les airs qu'on lui donnait. Et c'était de ces robes en dentelles, celles les plus délicates, les plus douces, qui lui donnaient des airs de poupée en porcelaine. Elle avait cette allure, qui permettait d'attraper les regards, qui faisait sonner son alarme si souvent, alors qu'elle préférait la majorité du temps éteindre cette chose qu'elle trouvait idiote. Car les sentiments pour elle n'était pas un quelconque jeu, et tout ceux qui avaient essayer de jouer avec elle s'étaient retrouvés à s'en brûler les ailes. Mariage arrangé évité de peu, elle tournoyait, de ses mèches ébènes qui se voyait tant sur ses vêtements clairs et angéliques. Pourtant, malgré tout, enfant dénigrée, qui n'hésitait pas à salir ses vêtements dans les activités qu'elle exerçait, elle se laissait porter par les rêves qui emplissait sa tête. Et quand ce n'était pas les pleurs, qui ravageaient son visage doux et délicat, c'était les gens, qui l'effrayaient, car personne ne souhait comprendre cette façade élégante qu'elle ne manquait pas de massacrer à la moindre occasion. Elle était de ces papillons qui butinaient sans s'arrêter, de ceux qui, malgré tout, ne posaient le regard sur rien d'autres que les douceurs des gestes et des contacts. Ô oui, on la reconnaissait, cette gamine qui traînait souvent après les cours malgré ses allures de princesse, celle qui voulait tout simplement s'amuser comme tous malgré ses esprits embrouillés, malgré le fait, qu'elle n'était qu'une illusion pour tous, ce petit monstre auquel l'on devait apprendre que la vie en étant trop inexpressif, ne marcherait pas, même pour la plus belle des fleur. Même, pour celle plongée dans un cauchemar ambulant. Parce qu'elle était tout seule, la marionnette, pour s'occuper d'elle, et elle l'avait toujours été. Car elle même, n'était que cette illusion ignorée par les plus grand. Celle, qui causerait les désastres comme dans ces astres que l'on apercevait dans les temps les plus noirs, que l'on remarquait, dans les yeux de ces démons, qui faisaient sombrer le cygne blanc, le teintant de n o i r.  


And I’m gonna stop cryin’, stop feelin’;
Stop thinkin’ ‘bout you, my babe; Not gonna cry anymore, gonna break out;  And gonna take more care of myself; And I’m gonna stop
H O L O



rhee jonghwa
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Sujet: Re: FICHES PERSOS -- Ven 5 Mai - 17:51
quote éditer supp
Ilhun

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[spoiler="tw"]meurtre, ... [/spoiler]<br><center><div class="fi6"><div class="newfiback"><div class="newfipbord"><div class="newfip"><newfipseudo>lim ilhun</newfipseudo><br><newfipss>ft. kim younghoon — pre-lien (antares, dream gang)</newfipss></div></div><table><tr><td><div class="newfiava"><img src="https://images2.imgbox.com/25/b0/lLTJ1CwI_o.png"><div class="newfiavahover"><center><div class="newfihborder"><div class="newfihtexte">cheon</div></div></center></div></div></td><td><center><div class="wtsb">where the story begins</div></center><div class="pacontimg" style="padding : 2px; margin : 0px 5px;"><div class="newfinfos"><div class="newfic1">
[center]✵           .      .     ✦       ⋆ .

.   ˚   · <se>sorry I'm heartless</se>.  ⋆  ˚ ·
    ˚  ⊹  *      .  · 
            ·[/center]

[center]<span class="sff">— nom prénom —</span>   
<zp>⋆  ˚ · Im ilhun ·  ˚  ⋆</zp>[/center]

<blockquote><sf>(( ilhun ))</sf>, briseur des [i]marrées [/i]ravageant les flots sur ses passages ; or entre les doigts pour en éclater les veines et les visages [i]inconnus[/i]. Syllabes [b]insolentes [/b]pour le loup qu'il était devenu : car personne ne le nommait, car [i]secret [/i]gardé entre les paumes pour ne pas en laisser diverger les semblants de myocarde. <sf>(( lim ))</sf>  car il n'en connaissait aucune des histoires, derrières les merveilles [b]désastreuses[/b]. Alors à bâtir, comme réputation si magnifique : de celui égorgeant sans les pitiés les [i]astres [/i]à déformer. Et ô tout se colorait sous les simples prénoms ! Avidité et mensonges : car lui n'était capable que de repeindre les murs de [b]rouge[/b].</blockquote>

<hr>

[center]<span class="sff">— âge, date de naissance —</span>
<zp>⋆  ˚ · 06.12.97, 23 ans ·  ˚  ⋆</zp> [/center]

<blockquote>Et entre les rues ; déserts insatiables : car ne faisait que se dessiner horreurs depuis qu'il en avait effleuré les premières constellations pour les démanteler. <sf>(( 23 ans ))</sf> d'[i]horreurs[/i] sous [b]habitudes[/b], années passées comme pour ne plus en voir les reflets de son propre visage lors des nuits d'[i]hiver[/i]. <sf>(( 6 décembre 1997 ))</sf> ; date à rayer, n'en servant que sur les papiers [b]officiels[/b]. Inutile jour qui en venait à retracer les chemins jusqu'aux [i]Enfers [/i]même : et lui n'avait fait qu'en rayer les jours pour en [i]oublier [/i]la date même.</blockquote>

<hr>

[center]<span class="sff">— lieu de naissance, origine(s) et nationalité(s) </span>
<zp>⋆  ˚ · Belgrade, serbe & coréen ·  ˚  ⋆</zp>[/center]

<blockquote>beautés des places ; étranger devenu quotidien : et il ne savait rien, et il n'avait rien sû. mystère découvert il y a si peu entre les lignes courbes et sinueuses, ô belle <sf>(( Belgrade ))</sf>, Serbie oubliée pour en gravir les sommet ; sang coréen qu'il avait pensé unique : jusqu'à fouiller entre les calvaires pour en découvrir funestes histoires.</blockquote>

<hr>

[center]<span class="sff">— statut civil, orientation sexuelle —</span>
<zp>⋆  ˚ · célibataire, pansexuel ·  ˚  ⋆</zp>[/center]

<blockquote>courir après les corps : sentiments [i]inviolables[/i]. Car il n'y avait rien ; [b]monstre [/b]caché qui aux allures calmes en renfermait [i]destructions[/i]. Courbes à effleurer comme pour en combler les vides. Rien, jamais rien, car tout était [b]mort [/b]en lui. Alors il ne faisait que jouer sans ne jamais s'attacher : car aimer, il n'en connaissait pas les [i]significations[/i]. <sf>(( volage célibataire ))</sf>, pour en faire mourir les cœurs un peu plus sans ne jamais se questionner. Car les solitudes régnaient en maître, sous les apparences [b]entreprenantes [/b]: car tout n'était que façades, sous les jougs des vêtements tâchés. <sf>(( Pansexuel ))</sf>, pour n'en combler que les [i]épidermes gravés[/i] de parjures. </blockquote>

<hr>

[center]<span class="sff">— emploi/situation —</span></uuu>  
<zp>⋆  ˚ · tueur pour la mafia serbe, hacker ·  ˚  ⋆</zp>[/center]

 <blockquote>et les armes aux bouts des doigts ; machine sans frein pour en articuler les jeux macabres. Enfance gâchée : perdue ; face aux passions écrasées et mortes. Car lui ne servait qu'à tuer, de ses actes interminables, pour les mêmes visages, pour ces serbes qui l'avaient élevés. Mafia serbe manipulant ; et il en resterait loyal à cette patrie montrant les enfances. Adage aux arabesques ; couleur coulant sur les sols sacrés : pour en arracher vies aux impuissants. <sf>(( tueur serbe et hacker ))</sf> solitaire aux amères manières. Mais il y avait elle : diamant dévoilé ; pour en infiltrer les mensonges sous les balancés. Alors groupe découvert ; insolence des mensonges dévoilés, <sf>(( dream gang ))</sf> comme nouvelle famille falsifiée. Mais n'était-ce pas lui, qui en était tombé de son propre jeu ?</blockquote>

<hr>

[center]<span class="sff">— situation financière/classe sociale —</span>
<zp>⋆  ˚ · moyenne ·  ˚  ⋆</zp>[/center]

<blockquote>rêves écrasés pour en être les ombres de ces rues si infectes. Maison entre les sombres ruelles fabriquées, car les tâches s'accomplissaient en silence, car il n'était que l'être oubliée à laquelle on avait offert les lames dès le plus jeune âge. <sf>(( moyenne ))</sf>, pour continuer à survivre comme il l'avait toujours fait. </blockquote>

<hr>

[center]<span class="sff">— situation familiale —</span>
<zp>⋆  ˚ · détruite ·  ˚  ⋆</zp>[/center]

<blockquote>et les mots avaient été oublié : marionnette d'un <sf>(( père ))</sf>auquel il en avait voué les existences. Misère éternelle pour en déverser les flots aux inconsciences amères. Mais les vérités avaient explosée ; recherches et trouvailles : pour en dénicher les vérités perdues. Car il y avait un rubis parmi les flammes, seule âme restante aux rédemptions immanquables.  <sf>(( sœur jumelle ))</sf> gardée comme secret pour en disperser les étoiles : et lui ne voudrait qu'en voir les beautés scintiller, autant que lui sombrait entre les dédales nocturnes. Car elle était visage à découvrir encore et encore. </blockquote>

<hr>
[center]<span class="sff">— activité(s) illégale(s) —</span>
<zp>⋆  ˚ · vie et mort·  ˚  ⋆</zp>[/center]

<blockquote>vices perpétrés, pour en contrôler les âmes. Et de ses dissimulations, lui venait en achever les vies et faire taire ceux parlant beaucoup trop. Froideur des crimes dont il ne faisait plus que comme par habitude : car les peurs étaient parties, car il ne lui restait aucune once d'humanité. Vermeille à en faire nacrer les arts, écrans admirés pour en admirer les vils esprits : hacking quand les calmes régnaient ; meurtre, quand les pieds se posaient entre les rues. Alors si les casiers en étaient vierges, les mains en étaient en étaient elles gravées de marques indélibiles. </blockquote>

[center]ˏ⋆
·˚ˎ

<t>nécrose jusqu'aux os</t>[/center]

</div><div class="separateur"></div><table><tr><td><div class="newfic2">

[center]<t>fever</t>
<zp>“calling emotions</zp>

[/center]


<span class="sff">— casier judiciaire </span> ↝  vierge ; inconscience du paraître pour ne jamais se faire prendre. Car il était maître des discrétions et des masques : car il maniait chiffres et armes comme les cœurs à charmer : sans ne jamais en perdre les objectifs.  <hr><span class="sff">— consommations </span> ↝  drogues évitées pour n'en être que lucidités ; cigarettes écrasées pour ne pas en encrasser les poumons : mais les tentations face aux liqueurs ne faisaient que le faire se perdre de temps en temps : lui qui résistait aux intrépides massacres.<hr> <span class="sff">— loyauté </span> ↝ Cheon : dépit et méandre, pour s'approcher des joyaux inconnus, pour en décrocher les cieux face à eux. Et peut-être que tout n'était pas aussi mensonger, de ces mots qui sortaient de ses lippes. Tueur pour la mafia serbe, attaché aux ombres des Cheon. </div></td><td><img src="https://i.pinimg.com/564x/94/6a/57/946a572c7571c5b544b41f2cab6af1ac.jpg" class="fimg"></td></tr></table></div></div></td></tr></table><div id="mtabs"><div class="fbb"><li class="active"><a href="#tab1" rel="tab1">I</a></li></div><div class="fbb"><li><a href="#tab2" rel="tab2">II</a></li></div><div class="fbb"><li><a href="#tab3" rel="tab3">III</a></li></div></div><div class="pacontimg" style="padding : 2px; margin : 3px 13px;"><div id="mtabs_content_container"><div id="tab1" class="mtab_content" style="display: block;"><div class="newfic3">
[center]✵           .     
.     ✦       ⋆ .

.   ˚   · <se>sacrifice for the broken</se>.  ⋆  ˚ ·
<t>et les étoiles crèvent entre ses doigts</t>
    ˚  ⊹  *      .  · 
            ·[/center]



[center][b]joueur[/b] — [i]arrogant [/i]— [u]déterminé [/u]— m y s t é r i e u x — [b]solitaire [/b]— [i]mature [/i]— [u]charmeur [/u]— t a c t i l e — [b]impatient [/b]— ténébreux — [u]versatile [/u]— [i]combattif[/i] — difficilement docile[/center]

<hr><blockquote>

[center]<zp>⋆  ˚ · lacrimosa ·  ˚  ⋆</zp>[/center]

<fc> o1 ↝  </fc> Gamin amoché ; doigts tremblant ; et tout semblait flou, sous ses prunelles entaillées : et tout semblait irréelle, de ce métal tremblant. Car on lui avait dit que tout était normal ; que s'il voulait survivre il devait suivre ce qu'on lui disait de faire. Seule famille, père espiègle aux ordres insoutenables : et pourtant il était là. Ô détonations ! Poudre aux doigts ! Vie échappée ! Car les yeux en avait perdu les éclats si tôt, car les enfances volées en avaient été écrasées le même jour où la première balle était partie. Hurle, court, et ne te retourne jamais ; mains prisonnières pour lui en faire comprendre que c'en était là sa vie. Banalité, qui depuis les passions meurtries, ne lui avait fait que connaître les sols de la Serbie comme lieu d'existence ; sous les entraînements et les acharnements. Machine inarrêtable à la froideur permanente ; solitude extrême pour celui qui n'aimait que faire les quêtes et missions sans en être alourdi des présences inutiles. Car il n'était là que pour tuer : sans ne jamais s'arrêter.


[center]<zp>⋆  ˚ · le lac des cygnes ·  ˚  ⋆</zp>[/center]

<fc> o2 ↝  </fc> Impossibles envies, qui dans les nocturnes silencieuses, à l'écart du monde, en laissait pleuvoir une certaine douceur. Cristal restant d'un temps révolu : comme pour continuer d'en garder les idées claires derrières le monstre que l'on avait crée. Alors les pas s'articulaient, de ses tympans plongés entre les ballets incandescents. Cours qu'il n'avait jamais pu prendre ; passion née comme refuge pour en bercer les esprits tourmentés, pour s'échapper des réalités si futiles où le corps en était coloré de rouge. Et sans doute en gardait-il les visages fermés ; lueurs infimes pour les arts dansants. Jetés et basques pour en voler toujours un peu plus haut : pour en enterrer les images mortelles devenues si banales pour lui. Et personne ne savait, et seul secret qu'il conservait entre ses doigts semblant si subtiles et pourtant destructeurs. Qu'était-il, si ce n'était marionnette et insolence permanente ? Pourtant sans doute meilleure lame entre toute ; regorgeant d'une simple facette à ne jamais dévoiler ; au risque d'en mourir sous les avis lui important peu.


[center]<zp>⋆  ˚ · Giselle ·  ˚  ⋆</zp>[/center]

<fc> o3 ↝  </fc> Doigts sur les claviers pour en dépeindre les paysages inconscients ; intelligence sur les terrains et dans les ombres : car on l'avait réinitialisé, lui qui n'en était plus qu'outils pour servir les loyautés. Car le gamin ne faisait que croire les illusions qu'on lui offrait sans en remettre en question les seuls parents aux haines pourtant si ancrées. Ilhun, disgrâce réputation, malaise connue : car il en brillait autant sur les terrains que derrière les écrans. Interminable et perspicace pour en offrir services précis et rapide : et en accomplir à la perfection les missions carnages. Désastre complet ; éclatant les fragments imparfaits de ses doigts sanguinaires : pour en imposer les respects et  ombrages.


[center]<zp>⋆  ˚ · L'oiseau de feu ·  ˚  ⋆</zp>[/center]

<fc> o4 ↝  </fc> Car tout allait bien trop vite ; car les doigts en tapaient trop rapidement, sur les dossiers interdits. Et ô peut-être avait-il fouillé là où il ne fallait pas, celui qui en avait déterré les passés insoutenables. Suffoquent ! Les visages autrefois si impassibles. Hurle ! Le myocarde empli de vide. Et lui qui pensait n'en avoir que les pères bercés de contes inexistants : il en découvrait les existences cachées ; dissimulées. Pierre admirée sur les écrans pour en effleurer des phalanges les quelques simulacres factices d'une vie de mensonges et de chaos. Monstre qu'il était qui devait en garder les masques fissurés ; envie de l'apercevoir juste au coin des rues, d'en garder les secrets si convoités pour ne pas en attirer les attentions. Ô prunelles aux lueurs si faibles pour celle inconnue qu'il ne voulait que détailler comme pour en graver les traits : et elle en deviendrait objectifs. Famille à créer alors qu'il n'en méritait aucune des constellations qu'il avait pu détruire, elle qui en était les déités causant ravages aux mirages forgés de sang. Car elle était [i]la seule[/i], à présent.


[center]<zp>⋆  ˚ · Orpheus ·  ˚  ⋆</zp>[/center]

<fc> o5 ↝  </fc> Et les voyages s'étaient faits : excuse d'en venir exercer les lois dans les pays miraculés ; alors qu'il n'en était là que pour la retrouver ; douceur des pétales à tenter d'approcher comme pour n'en montrer les mascarades ridicules. Stratège monté à l'abris des regards sans ne jamais s'en faire repérer : et lui en était devenu hacker des gangs délicats. ( ( d r e a m  g a n g ) ) ; gamins bernés pour en approcher la nymphe : et pourtant il s'y était attaché ; pris à ses propres pièges indécents. Mensonges prononcés pour en intégrer les rangs, et peut-être était-il tombé lui-même alors que le myocarde sans vie en venait à s'attacher aux figures qu'il avait gardé à distance de lui-même : pour ne pas plonger plus qu'il ne le faisait réellement. Misère des mouvements ; pour fuir les réalités.


[center]<zp>⋆  ˚ · L'après midi d'un Faune ·  ˚  ⋆</zp>[/center]

<fc> o6 ↝  </fc> Diamant brut sur lequel les yeux s'étaient posés ; discrétion à part entière : car à l'écart il en découvrait les quotidiens comme symphonie recomposée. Et il avait peur, d'en briser un peu les épidermes. Confidences gardées comme boîte de Pandore refermée : et à ne jamais ouvrir. Car elle n'en en méritait plus, que meurtrier sans honte, car lui n'était que briseur des marrées sans aucune barrière. Aucun droit d'en casser les quotidiens, aucun droit de briller de par ces lumières risibles. Alors il observait, sans réellement s'approcher, faisant taire les envies incontrôlables. Belle aux poisons inavoués ; [b]Hyunjin[/b], aux éclats à faire revivre. Ombre qui se faufilerait toujours plus alors que tout n'était que délicatesse et sensibilité envers celle éclairant les passés sinueux.


[center]<zp>⋆  ˚ · Le Sacre du printemps ·  ˚  ⋆</zp>[/center]

<fc> o7 ↝  </fc> Relations à effacer ; attaches invisibles : car personne n'en faisait battre les palpitant, vide étrange en comblant les poitrines entre les draps à déshonorer. Mot dont il ne connaissait pas les signification, lui. Amour maudit pour les travaux des dieux venant arracher myocardes et incandescences. Car ô Ilhun, œuvre d'art en lui-même pour en combler les regards des autres : alors que les touchers ne l'atteignait pas, alors qu'il n'y voyait aucune promesse dans les baisers échangés. Acte sans vie car pour lui les chairs n'en étaient que poisons trop innocent pour ce qu'il était lui. Démon nocturne qui n'en écoutait rien ni personne ; ordre inconnu car il en était là à dompter les autres et non l'inverse. Bête distante ; qui de ses carapaces en venait à partir lors des milieux de nuits : pour ne pas en laisser les espoirs. Fuir, pour respirer loin des chaleurs et retourner dans les froideurs des ruelles : car c'était tout ce qu'il méritait.


[center]<zp>⋆  ˚ · Le Bolero ·  ˚  ⋆</zp>[/center]

<fc> o8 ↝  </fc> Et sur les asphaltes ; lui en avait versé le sang. Et entre les étoiles, il était devenu ombre mouvante pourtant doté des délicats gestes. Précis ! Comme les tranchants exercés. Mais si doux : inhabituel qu'il ne laissait jamais s'apercevoir. Lames entre les doigts s'effaçant pour en dessiner les grâces d'un corps abîmé par le temps ; et dissimulant peines sous les arpèges et mélodies élégantes. Car personne n'y comprendrait rien, s'il en avouait là ce qu'il pouvait même ressentir quand les pas venaient délicatement en effleurer les sols, quand de sauts et de chassés, il en venait à en blesser les chevilles et pieds si fragiles mais aux apparences si rudes. Et pouvait-il même ressentir, lui ? Et en avait-il même un cœur qui battait, dans les thoraciques qui en ressortaient si douloureuses ? Car même lui, n'en savait rien, arraché à la naissance car il n'en était rien. Mais les regards s'en laisseraient trompés ; en le voyant s'envoler entre les cieux.


[center]<zp>⋆  ˚ · Carmen ·  ˚  ⋆</zp>[/center]

<fc> o9 ↝  </fc> Doux charmeur ; pour en effacer les froideurs qui le composait, gamin fébrile et silencieux : au regard pourtant rempli de réponses. Réactions délicates, discrètes, mais qui en voulait dire tant de choses. Couleurs irisées mais fades, sans vie comme les infernales rafales qu'il faisait part à tous ; ô humour noir sous les traits juvéniles, élégance à toute épreuve sous les manières forgées au cours du temps. Car les regards venaient en charmer certains, d'autres venaient en foudroyer les malheurs : car tout n'était qu'apparences et mensonges dans les milieux du jeu des vies, car tout n'était que paroles poétiques pour en soutirer les Enfers maudits. Brûlent, brûlent, les fleurs d'été, jusqu'à n'en devenir que cendre sous les briquets toujours portés. Feux ardents s'élançant dans les cieux d'un myocarde inexistants ( ce qu'il voulait faire croire, ce qu'il croyait ) ; sans ne laisser personne y entrer.


[center]<zp>⋆  ˚ · La Dame aux Camélias ·  ˚  ⋆</zp>[/center]

<fc> 1o ↝  </fc> Fleurissent les pléiades dans les rues d'un pays à découvrir, et ô il en laissait là vagabonder les esprits si souvent. Prétexte de missions trouvé, et peut-être n'en arrêterait-il pas les activités : sous les commandes reçues. Cibles infaillibles, car un tueur ne s'arrêtait jamais une fois devenu monstre. Songes idylliques alors que sous les visages des gamins attachants il en jouait les mains blanches. Simple hacker : bien plus que cela. Jouer des mots pour en faire fleurir les paraître. Mais tout n'était que factice entre ses doigts, requiem infime où les notes se dessinaient au fur et à mesure : jusqu'à en guider les morts. Car là destin tragique qui l'attendait, si les retours s'en faisaient découverts, si les doigts s'en faisaient attraper. Mais acteur prodige était-il pour en dissimuler les vérités sous formes de cauchemar, intelligence placée entre les stratèges des temps, pour en accomplir les buts promis : et ne jamais tomber plus bas. Car à présent il n'avait plus rien à perdre sauf elle et ceux qu'il dupait alors même que les attentions s'en faisaient de plus en plus réelles : de plus en plus ressenties.

[center]ˏ⋆ ·˚ˎ *
[/center]
</blockquote>

</div></div><div id ="tab2" class="mtab_content"><div class="newfic3"><table><tr><td><img src="https://i.pinimg.com/564x/5e/fa/0f/5efa0fe1fadcd6d17ec259d041019775.jpg" class="iimgfi" style="position : relative ; z-index : 2;"></td><td><div class="wtsb" style="width : 270px; margin-left : -60px;font-size : 10px; height : 13px; margin-top : 10px;  position : relative ; z-index : 1;"><dm><span style="color : #ffffff;">chronologie</span></dm></div><div class="newfic4"><span class="stf">06.12.97 — </span> et tout était flou, entre les arabesques inconnues : car pour lui il n'avait qu'un père, de ces naissances où on ne lui avait jamais rien dit. Secret caché comme pour en forger armes les plus innocentes. alors tout avait vu le jour, sous les couleurs inconnues ; naissance mystérieuse qui en causerait ravages.

<span class="stf">2007 — </span> ravage du temps, gamin grandissant : et il fallait l'éduquer, lui apprendre, que la vie n'était que massacre permanent dans les rangs à protéger. Loyauté enseignée, entraînement ardu, et il y avait eu ces doigts fin sur les poignées de bois, face aux cibles ; et il y avait eu les enseignements de visées. Car gamin qui ne devait pas s'épanouir : réflexes à prendre et précision à gagner dans le moindre des gestes. Pour survivre dès son plus jeune âge, pour comprendre les mondes dans lesquels il vivait.
<span class="stf">2013 — </span> mené à la ficelle, gardé sous l'oeil, celui qui s'émancipait pour en devenir cerveau, et il s'exerçait à la perfection : gamin délaissé pour en créer une arme. Meurtres et piratages silencieux à répétition ; et il ne faisait que jouer dans l'ombre, lui, de ces mafias où la loyauté était maître.

<span class="stf">2018 — </span> malheur se déposant sur les prunelles et myocardes de tous ceux croisant son chemin, monarque sanguinaire qui devant les écrans en paraissait presque innocent. Et il avait cherché, lui, sous les non-dits ce qui en avait été vérité : et il avait voulu savoir, les secrets se cachant derrière les mots d'un père manipulateur. Car il ne pouvait plus rien croire de ceux qui l'entourait, monde rempli de faux : dont lui en était l'investigateur. Et elle était apparue, nom inscrit comme trésors à la dérive, et lui avait cherché, fouillé, pour en découvrir que le cœur avait été en réalité partagé. Sœur existante ; qu'il s'acharnerait à trouver pour en croiser les regards.
<span class="stf">2019 — </span> alors tout s'était planifié, prétexte trouvé pour en exercer les missions dans les pays si calmes. Avion pris : pour partir la retrouver elle. Et il avait essayé de s'en retrouver au plus proche d'elle, intégrant alors le Dream Gang comme hacker pour en berner ceux qui ne faisaient que croire aux façades si bien ficelées.

<span class="stf">2021 — </span> Vie nouvelle : perdu entre les villes découvertes, et il ne savait plus ce qu'il devait faire, et il continuait à duper et à se salir les mains. Car c'était ainsi qu'il avait toujours vécu, alors que les myocardes s'attachaient petit à petit, et que lui se contredisait dans ses propres fondements.

</div></td></tr></table></div></div><div id ="tab3" class="mtab_content"><div class="newfic3"><div style="padding : 10px 15px;"><div class="wtsb" style="width : 335px; font-size : 10px; height : 17px; margin-top : 9px; margin-left : 5px;"><dm><span style="color : #ffffff;">behind the screen</span></dm></div><table><tr><td><div style="margin-top : 10px;"><div class="birl"> hanatsuki</div> <div class="birl" > 19 ans</div> <div class="birl"> france</div><div class="birl"> bcp trop/7</div></div></td><td><div class="newfic5"><div class="newfic6"> Gamin séparé de sa sœur jumelle par son père, il a été entraîné toute son enfance en Serbie pour servir de machine de guerre à la mafia et en devenir un tueur et hacker. Froid et distant bien que laissant s'imposer les charmes pour les passions du ballet, il laissa les curiosités s'afficher pour en découvrir l'existence de sa sœur et tenter de la rejoindre en Corée pour apprendre à la connaitre en intégrant le gang qu'elle fréquentait : le dream gang. Mensonges prononcés, il s'était pourtant promis de ne pas s'attacher à ceux qu'il regardait d'une certaine distance sans grande réussite : pour ne pas les blesser eux aussi. <hr><span class="sff">— j'autorise le destin à s'acharner, mais j'impose mon véto sur .. </span> ↝ sa mort<hr> <span class="sff">— j'accepte qu'en cas de suppression mon personnage soit utilisé dans l'intrigue </span> ↝ oui j'accepte <hr> <span class="sff">— en demandant ma validation, je m'engage à accepter ce que le destin décidera pour mon personnage et donc de ne pas en avoir pleinement le contrôle </span> ↝ im ilhun accepte en connaissance de cause. <hr> <span class="sff">— un dernier commentaire ? </span> ↝ bjr c'est moi</div></div></div></td></tr></table></div></div></div></div></div></div></div></center>

Code:
<style> .lettre123{ display: inline-flex; font-family: 'Playfair Display', serif; font-size: 25px; text-align: center; margin-left: -3px; float: left; padding: 20px; line-height: 50%;  }</style> <center><div class="fi6"><div class="newfiback"><div class="newfipbord"><div class="newfip"><newfipseudo>song of fire</newfipseudo><br><newfipss>and ice</newfipss></div></div><div class="bordureinfos" style="margin : 10px; padding : 2px;"><div class="bottinblock" style=" padding : 10px;">
[center]✵           .     
.     ✦       ⋆ .

.   ˚   · <se>POISON</se>.  ⋆  ˚ ·
<t>sorry I’m an anti-romantic</t>
    ˚  ⊹  *      .  · 
            ·[/center]
[center]<img src="https://i.pinimg.com/564x/a7/08/38/a708383a531a2a3926ded6c3655cb61a.jpg" style="width : 50px; height: 50px; border : 1px solid #FFFFFF; padding : 5px; border-radius : 50px;">[/center]


<blockquote><div class="lettre123">D</div>ouces étaient les fraîcheurs des nuits ; meurtrières étaient les doigts  qui en effleuraient les airs : et lui naviguait, comme enfant perdu dans ses pensées. Car les rues, il avait fini par les connaître par cœur, car les recoins en étaient devenus ennemis; et les ombres ses amies. A jeter par dessus les ponts, les risibles sourires, attraper les mines pour les en faire exploser bien plus loin encore. C'était tout ce dont il était capable, lui ; charmer les lueurs pour en faire de ces rondes dansantes maudits chants, et en faire exploser un peu plus ses propres épidermes qui n'étaient que nécroses. Car ils pourrissaient, car ils partaient en lambeaux, et il ne restait que de lui les nébuleuses crevées. Explose, dans ses yeux, les méconnaissances des cœurs, car il ne connaissait rien, lui, à la chaleur des touchers, au battement d'un myocarde : aux pleurs de joies. Alors il se battait, fouillait pour ne faire qu'exprimer les douleurs de ces distances permanentes. Aide non voulue car les faiblesses ne voulaient pas s'afficher. Suivre les objectifs pour se perdre toujours plus : abandonner pour ne plus en voir les raisons. Suivre sa fierté, sans jamais en baisser la tête.

[center]<t>「 SANS NE JAMAIS EN ATTRAPER LES MAINS 」</t>
[font=Times New Roman][i][color=#000000]quand les rêves en semblent si éteints
que tout en meurt autour de lui.[/color][/i][/font]
ˏ⋆
·˚ˎ
 *
[/center]

Court le temps ; tue les amours : car ces mains rougies et vermillons n'en deviendraient jamais propres, car les regards offerts n'en seraient que monstruosité. Alors même si le thorax creux en venait à résonner et sonner ; tout ne serait qu'horreur : car les accroches incomprises en deviendraient poison pour celui méconnaissant. Vole les naufrages ; admire ceux qui s'illumine : et reste entre les ombres pour ne pas en empoisonner les autres.   

[center]<zp>⋆  ˚ · 'cause I'm only a beast ·  ˚  ⋆</zp>[/center]


</div></div></div></center>
rhee jonghwa
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Sujet: Re: FICHES PERSOS -- Ven 5 Mai - 17:53
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LOST CHILD
gonna dance again under the moon night






[nom, prénom]


SHIMIZU HANAE

Et la pluie résonnait, sous les gouttes cristallines qui d'une pureté manifeste ne venait qu'embellir ceux aux doigts nécrosés. Mais ô, première enfant de ceux qui n'avaient voulu qu'effleurer les cieux : comme oubliés sous les souvenirs discrets, car ils n'étaient que deux au final. SHIMIZU, nom d'une famille déchue qui avait atterrit là comme pour vendre leurs âmes, pureté sous les éclats d'eau qui en venait à éblouir les regards. HANAE, cette fleur aux pétales clos qui ne faisait que dépérir sous les cristallins bafoués et ignorés.

[date de naissance]

06.09.2000, KYÔTO

Paradis éphémère, sous les délicatesses des traditions et cieux perdus : ils ont pourtant vite retrouvé la Corée, de KYÔTO À SÉOUL ceux qui n'avaient fait que suivre les passions et échecs. Ceux qui ne suivaient que les démons anciens. Mais quand tout explosa, ils ne furent plus que deux à passer les anniversaires, plus que deux à se débrouiller, quand les dates solitaires arrivaient. Alors la gamine était née un peu par hasard,  SEPTEMBRE, mois gris et funeste sous les tragédies qui arrivaient bien trop rapidement. Catastrophe des nymphes qui l'avait pourtant dotées des doigts risibles.


[origine(s), nationalité(s)]

JAPONAISE

Mixité réelle : CORÉANO-JAPONAISE, car la mère japonaise et le père coréen n'en avaient eu que faire des apparences, pour vivre leurs idylles naufragées, entraînant les gamins des muses comme pour cacher leurs chutes inévitables. Alors elle assumait, elle, visage aux traits particuliers donnée par les origines de sa mère, sans à moitié italien dans les souches camouflé pourtant par les galaxies ornant son délicat visage admirable.

[occupation(s)]

IDOL, PANDORA

Besoin de sauver les tragédies, de venir répandre les sourires sur les visages peinés, elle était celle qui avait attendu 6 années en tant que trainee, celle qui malgré tout avait fini par débuter sous les noms prometteurs : PANDORA. Mouvements sous les veines inévitables, pulsions innées qui sous les entraînements entraînait épuisement fatal, danseuse acharnée qui n'abandonnait rien, main vocal qui faisait résonner ses pulpeuses sous les plafonds ouverts et couverts comme pour rassurer les éternels insatisfaits d'une vie inégale.

[nom de scène]

HWAA

Car les fleurs fleurissaient, car elles fanaient sous les artifices inutiles qui nécrosaient les myocardes et enchantaient les esprits fébriles. Mais elle sous les luminaires, n'était que délicatesse et grâce, car sous les coups d'une vie médiocre, elle rayonnait, pétales ouverts au ciel sous le caractère partagé entre Chine et Japon, HWAA, beauté éphémère.


[statut civil, orientation]

CÉLIBATAIRE, BISEXUELLE

Peu importe, au final, si les corps entrelacés finissaient par la lâcher : car les passions ne duraient pas, car les amours étaient futiles. Et malgré les contrats, et malgré les clauses. CÉLIBATAIRE pour les écrans, pour celui qu'elle devait protéger, mais BISEXUELLE, pour celle qu'elle voulait être, pour celle qui ne connaissait que les étreintes rassurantes des hommes aux regards avares.

[situation financière]

MODESTE

DÉSASTREUSE, car elle était seule, la nymphe sous les eaux frémissantes, à devoir s'occuper d'un frère quelque peu moins âgé. Alors elle espérait pouvoir tout rembourser : dettes infinies qu'elle comblait dès que les occasions se montraient, dès que les débuts se firent, pour remonter les pentes et lui offrir une vie meilleure.

[situation familiale]

DEUX

Il y a lui, le seul qu'elle voit scintiller sous ses prunelles, son PETIT FRÈREd'un an de moins pour lequel elle sacrifierait tout. Car les parents s'étaient cassés, dettes sur le dos de gamins qui devaient se débrouiller seuls : qui devaient faire rayonner les prunelles de chacun comme si rien n'était permis, comme si tout allait s'écrouler sous leurs paumes meurtries.


Code:
chronologie -- ☾


06 SEPTEMBRE 2000 Naissance sous les aurores irréelles : étoiles qui n'étaient pas dans les prunelles des géniteurs qui comme erreurs n'avaient réussi qu'à lui offrir les syllabes d'un nom beaucoup trop gracieux. Et les pleurs s'étaient tût, et les doigts avaient cherché à attraper les étoiles filantes qui ne faisaient que s'éteindre un peu plus.

2001 — 01 ans;  Créature mystique : ils étaient 2 à présent, petit frère comme pour l'accompagner dans la vie, comme pour l'accompagner dans les épreuves, comme pour faire fleurir les myocardes sous leurs paroles bien trop innocentes.

2004 — 04 ans; arrivée en Corée du sud : de l'archipel au continent, changement total alors qu'elle avait dû rejoindre les bancs de cette langue si similaire et pourtant si différente. Tout réapprendre, vivre avec cette bilingualité, car à la maison : on parlait japonais, et dans la vie : coréen. Rejetée par les camarades, car trop différente. Elle était cette bête de foire, beaucoup trop gentille, beaucoup trop douce, avec ses airs différents. Mais force d'esprit bien trop présent, pour abandonner la suite.

2006 — 06 ans; Les problèmes explosaient, à la maison, sous les disputes fréquentes, bien trop régulières, sous les corps effrayés d'enfants qui par eux-mêmes cherchaient à se protéger automatiquement. Et la grande sœur était toujours là, à venir enlacer son petit frère, à lui chanter des berceuses : comme pour remplacer des parents absents et ignorants.

2014 — 14 ans;  Et ce fut dans la rue, lors d'une sortie sur les pavés glacés de la capitale, que le visage constellé d'étoiles avait plu, que d'ores et déjà, on lui avait offrit cette possibilité de briller entre les plus grands. Ô mais elle n'y voyait là qu'un moyen d'aider un peu plus cette famille qui s'empêtrait dans les problèmes d'argents, entre les dettes de jeux et d'alcools qui ne faisaient que nuire à lui et à elle. Car tout ce qu'elle faisait à partir de maintenant, était d'essayer de lui offrir le meilleur malgré son jeune âge. Et elle était déjà un peu connue, de par quelques vidéos tournant sur internet : voix angélique qui sous les pléiades n'avaient fait qu'aiguiser un peu plus les flammes, sans ne jamais montrer son visage. Passion pour les vocales qui faisait rayonner les plus délicats. Alors contrat avec la wishmaker entertainment signé, comme pour vendre son âme au diable.


tw. harcèlement sexuel

2015 — Survival enchaîné, échec culminant : car on l'avait balancé sur la scène bien trop tôt, bien trop rapidement. Et on l'avait poussé, on l'avait forcée : trop effrayée quand les mains s'étaient apposées sur elle comme pour lui dire qu'elle pourrait atteindre les plus hauts sommets. Attouchements non-voulus derrière les coulisses, dégoût complet de ceux qui dans le silence avaient fini par faire comme si de rien était, elle avait été tout simplement mise au placard malgré ses efforts : car elle avait refusé de se faire soudoyer par ceux aux mains liées. On avait voulu la réduire en cendre, mais elle n'en avait tout simplement plus jamais parlé, elle ne l'avait même jamais signalé, secret conservé comme pour ne pas écorcher son image déjà faite. Et elle en était traumatisée, de ces mains, et elle en s'en souvenait encore, la gamine, de ce visage qui la menait encore par les ficelles dans le dos pour la faire taire. Touchers nécrosés sur les peaux enneigées. Pour la contrôler. Epreuve quittée bien trop rapidement alors que les échecs avaient été mis en avant, corruption silencieuse alors qu'on avait critiqué son professionnalisme et ses capacités de travaux en groupe. Rumeurs débutées qui avaient pourtant été tût rapidement par le silence.

2017 — Efforts redoublés, tandis qu'elle s'épuisait à la tâche, elle avait gagné une légère fanbase de ceux qui se souvenaient de son visage poupée. Muse bien trop pure de ce que l'on disait, alors que les mensonges s'entraînaient encore et encore. Et il y avait eu les fausses joies, celles de la faire débuter, celles qui lui avaient dit qu'elle pourrait enfin rejoindre un groupe. Mais catastrophe, monde qui s'écroula, car elle avait été facilement remplacée par d'autres. Gamine bien trop effacée, que l'on disait, qui voulait toujours bien faire, et elle, ne faisait que vouloir s'épanouir sous les arts qui les passionnaient. Elle n'était pas assez rayonnante pour eux, pas assez artificielle. Alors elle participait entre temps à des concours pour oublier : chant, danse, juste pour qu'on la remarque plus. Pour se forger un caractère plus imposant, et ainsi devenir celle qu'ils voudraient faire briller.

2018 — 18 ans; Durs enchaînements et entraînements, qui par moment l'avait mise à bout. Du mal, elle en avait toujours eu, surtout lorsque les danses se faisaient de plus en plus complexes, lorsque les pas la faisait chuter toujours plus lors de ces séances désastreuses. Car elle n'avait jamais eu aucun talent, si ce n'était sa voix qu'elle laissait sortir lors de covers sur les réseaux. Et le visage devint connu, car particulier, car délicat : douceur sur les photos qu'elle commençait à apprécier d'elle-même. Mais rapidement, la danse l'envenima d'une passion bien étrange, qui l'a fit s'acharner toujours plus pour atteindre les perfections demandées. Rumeurs dont elle se fichait, harcèlement qu'elle préférait ignorer, compétitions auxquelles elle prenait part pour montrer qu'elle méritait sa place : elle se fichait bien des autres, ceux et celles qui ne faisaient que la dévisager. Car elle avait un but, la belle, celui de pallier à la disparition de leurs parents partis elle ne savait trop où pour les laisser se débrouiller seuls, son frère et elle. Se pousser encore et encore jusqu'aux limites quitte à s'évanouir. Ô elle ne brillait pas, elle n'avait jamais brillé. Toujours recalée, débuts toujours repoussés : car il lui manquait cet éclat que d'autres avaient, que d'autres reflétaient bien plus qu'elle.

2019 — 19 ans; études en parallèles pour pallier les heures de pratiques beaucoup trop présentes : elle n'avait fait que progresser pour atteindre cet idéal, pour pouvoir protéger le seul être qu'il en était digne à ses yeux. Car la princesse aux iris devenus exténués, vides de tous sentiments s'en retrouvaient pourtant bien charmés lorsqu'on lui avait annoncé les débuts d'un groupe : PANDORA. Ô mais sans doute n'aurait-elle jamais pensé pouvoir y accéder, elle qui n'avait à son palmarès que des heures de tortures, de muscles froissés, et de voix cassée sur son dossier. Elle était toujours celle que l'on voyait rester isolée dans les salles aux miroirs, musique résonnant, pour pratiquer les pas, le visage en sueur jusqu'à pas d'heure. Résultats pourtant excellents : sans doute avait-elle manqué de confiance en elle, à toujours vouloir s'entraîner jusqu'à l'épuisement. Et pourtant elle avait pu rejoindre ce groupe aux allures détruites par la vie. Parfum amer sous les projecteurs.

NOW — 20 ans; et elle continuait de faire la nuit ce qui l'entraînait. Rentrant parfois tard au dortoir, heures passées à améliorer ses compétences pour ne pas tirer tout le monde vers le bas, pour ne pas paraître pour celle qui ne faisait que ralentir le groupe. Car elle voulait le voir réussir, car elle voulait voir celles qui l'accompagnaient briller tout autant, sous les sourires qui ne faisaient que grandir sous les lumières artificielles.

Code:
anecdotes -- ☾

forte - élégante - apeurée - fragile - désespérée - esseulée - optimiste - joyeuse - brisée

O1. Et ils étaient deux : deux âmes laissées à l'abandon sous les juridictions de l'instinct, car les parents avaient fuit, les laissant pour seuls êtres uniques à devoir veiller sur l'un et l'autre. Dettes sur le dos, odeurs d'alcools qui n'erraient plus dans les murs qu'ils avaient reconstruits tous les deux. Et la gamine n'avait dans les prunelles que son petit frère, celui qui ornait son monde infini. Et sans doute donnerait-elle sa vie pour pouvoir glorifier la sienne, pour faire en sorte que le bien soit fait que qu'il ne puisse vivre une vie formidable. Alors elle avait commencé à s'entraîner bien plus encore qu'on ne pouvait l'imaginer, bien plus qu'on ne le pensait, car maintenant, ils n'était plus que deux.

O2. Chant qu'elle avait commencé bien trop tôt pour bercer les pleurs parmi les cris, elle avait fini par tout continué sur internet, youtube, pour laisser les gens savourer les parfums de nature. Et encore plus lors de ses années trainee : comme pour tenir le coup sous les assauts diffamatoires. Ô la japonaise n'avait plus d'yeux que pour la danse et les vocales, alors que le cœur se nécrosait de solitude. Elle était celle qui avait aidé toujours tout le monde, celle beaucoup trop gentille et délicate. Fleurs aux pétales arrachés finalement quand on la piétina, quand on l'insulta de tous les noms lors des premières années. Mais elle s'était montrée forte, même si rejetée, à rester dans son coin pour pouvoir se solidifier, à ignorer ceux qui ne la voyait que comme niaise. Ô que non, elle était bien des choses, bien plus forte qu'elle ne le montrait, alors de brumes écarlates aux étoiles éclatées, sanglots sonnant comme les pléiades des déités, elle était cette nymphe aux élégances divines. Car elle était devenue, silhouette fine et divine que l'on pouvait reconnaître de loin, lorsque sur les parquets les pas de danse résonnaient.

O3. Quand les rythmes résonnaient, quand la voix sous les jougs nocturnes soufflaient à ses oreilles, elle se souvenait, de ce myocarde bien trop souvent écrasé. Romantique dans l'âme dont les sentiments n'atteignaient personne, elle n'avait jamais eu le temps de chercher la joie parmi les étoiles des cieux. Bien trop douce, lui reprochait-on, force de caractère pourtant bien présent alors que les sourires de façades n'avaient fait qu'orner son visage, alors que les cris internes ne voulaient que sortir, alors que les rires voudraient se transformer en pleurs. Peaux qu'elle voulait effleurer, chaleur qu'elle voulait ressentir, sur son corps bien trop gelé. Et dans les nuits sombres, elle était seule ombre dans les salles de pratique à s'épuiser pour s'écrouler sur les sols glacés.

O4. Seule parmi tant d'autre, elle se démarquait bien plus souvent pour son visage étoilé, qu'elle détestait particulièrement. Trop différente selon elle, trop étrange sans doute, alors bien trop souvent elle le maquillait, même si on pouvait sans doute le lui reprocher. Car c'était ce qui ressortait le plus sur les photos, car malgré tout, elle ne voulait tout simplement que faire rayonner celui qui l'attendait à la maison. Alors elle donnait tout d'elle-même, et malgré le fait qu'elle ait sans doute grandi un peu trop vite dans un monde décharné, elle avait essayé d'offrir à son frère une vie banale : comme si elle était la mère de tous. Instinct protecteur qu'elle avait conservé au sein du groupe qui était devenu en quelque sorte sa deuxième famille malgré les distances qu'elle y mettait. Car elle avait peur de perdre tout.

O5. Contacts qui au début lui était compliqué : les danses physiques et de proximité ne faisaient plus que l'inquiéter quand elles se faisaient. Et pourtant elle était sans doute des plus rayonnantes quand devant les caméras les sourires se faisaient. Mais elle était ainsi également tous les jours, bien qu'elle essayait de toujours tout bien faire. Sensualité qui se dégageait de ses pas quand elle se mettait à danser, charme élégant qui la représentait : elle n'avait rien de cette poupée innocente qu'on lui prêtait. Adorable en réalité, elle savait se montrer bien plus forte de caractère qu'il n'y paraissait, qu'elle ne voulait bien le montrer.

O6. La jeune femme profite des nuits nocturnes pour s'exercer, se faufilant silencieusement dans les dortoirs une fois cela fait. Epuisée, corps exténué sur le point de craquer, elle avait juste peur de ne pas être au niveau, peur de se faire remplacer comme elle l'avait déjà été. Elle n'était rien au final : invisible. Pourtant photogénique, voix puissante qui savait se montrer angélique et délicate, elle cachait pourtant les mots qu'elle voulait sortir : peur accrochée au ventre des représailles de ceux qui pouvaient tout ruinée, elle restait la plus faible d'entre tous, alors que sous les lumières elle était cette force mentale que tout le monde pouvait apprécier.

LIKES. la danse contemporaine, la compagnie, son frère, les ballades, les animaux,

DISLIKES.  le noir, les contacts, la solitude, la foule, les mensonges,

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